Mais, c’est bien connu, on n’en fait jamais trop pour créer un climat propice à l’arrivée de nouveaux flux migratoires. Aussi, l’Ecri a tancé notre pays pour « des propos tenus par des responsables politiques sur l’immigration et l’intégration, y compris par des membres du gouvernement », lesquels « ont été ressentis comme encourageant l’expression du racisme et de la xénophobie ».
« Elle constate aussi la persistance de discrimination dans l’accès à l’emploi, à l’éducation et aux services qui touche les minorités visibles, les musulmans, les gens du voyage et les Roms. Elle souligne aussi « un problème de représentation disproportionnée d’enfants d’origine immigrée » au sein de certains établissements scolaires ».
La lutte (timide) contre l’immigration illégale a été aussi fustigée par l’Ecri, s’appuyant sur des « témoignages d’ONG de droits de l’homme », car celle-ci induit des comportements policiers jugés intolérables. A l’aide de ses « experts indépendants » (sic) il est ainsi souligné les « des graves conséquences que semble déjà avoir l’établissement d’objectifs chiffrés par le gouvernement en matière de reconduite à la frontière », l’Ecri « évoquant des excès en matière d’interpellation, de rétention, et de retour des étrangers. L’Ecri demande à la France de prendre des mesures en inscrivant clairement dans la loi l’interdiction du profilage racial ».
Dans sa réponse aux critiques formulées, le gouvernement français a pris bien soin de se coucher devant l’idéologie dominante en affirmant « que l’apparence ethnique en tant que telle n’a aucun intérêt dans la lutte contre la délinquance » et qu’elle « n’intervient pas dans la décision de contrôler ». « Le principal critère des contrôles, précise le commentaire, reste la réaction à la vue du policier, comme, par exemple, la fuite ou la tentative de se dissimuler ».
Il n’échappe pourtant à personne que les clandestins en provenance du continent africain –en l’occurrence les plus nombreux- ont tout de même un certain nombre de caractéristiques physiques reconnaissables, mais il n’est plus politiquement correct de le dire…
L’Afp rapporte que cette exigence de bannir les contrôles au faciès, a été formulée par l’Open Society Institute qui finança une enquête, « publiée en juin 2009 », qui avait relevé que « les contrôles d’identité par la police à Paris se fondent principalement sur l’ethnicité et le style de vêtements portés par les personnes contrôlées et non sur la base d’un comportement suspect ».
Cet Open Society Institute est possédé par le milliardaire mondialiste George Soros, très impliqué dans la défense des Roms, mais aussi partisan de la poursuite d’une politique d’immigration soutenue des pays du Sud vers l’Europe. Ce « philanthrope » qui a notamment sauvé George W. Bush de la faillite quand ce dernier dirigeait une société de prospection pétrolière, est intervenu à de nombreuses reprises, par le biais de l’Open Society Institute, en Amérique latine et en Europe de l’Est, pour favoriser la mise en place de dirigeants ayant l’aval de Washington.
La « Fondation Soros » joua également un rôle de tout premier plan dans la déstabilisation des ex-républiques yougoslaves et de la Russie, par le biais du soutien apporté à certaines révolutions « colorées » (Ukraine, Géorgie …). C’est donc auprès de ce genre d’agent d’influence, que « l’Europe des droits de l’homme » prend ses conseils. Cela ne fait que confirmer ce que nous savions déjà sur la réalité de l’entité Bruxelloise…