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Oui, les Français ont le droit de savoir !

Nous vivons décidemment une période formidable! L’Etat UMP est incapable de mettre au pas les bandes de racailles qui pourrissent la vie de nos compatriotes, d’arrêter l’immigration clandestine, ou encore de surveiller sur la durée les « jeunes » qui partent en « vacances » au Pakistan ou en Afghanistan, mais pour fliquer l’automobiliste contestant un PV, on se donne les moyens ! Le Parisien relevait ainsi qu’un « arrêté du ministère de l’Intérieur, publié il y a quelques jours au Journal officiel », « autorise la création d’un fichier d’un nouveau genre, et baptisé Ares, permettant de recenser automatiquement les données personnelles des automobilistes contestant leurs contraventions (…) Pratiquement, chaque officier du ministère public (…) chargé d’étudier la validité de chaque contestation de PV avant sa transmission à la justice,  pourra connaître en quelques secondes sur son écran d’ordinateur tous les détails personnels des contestataires et l’historique, sur cinq ans, de leurs réclamations. »

  Président de l’Automobile club des avocats (ACA), Rémy Josseaume s’indigne de ce que « Ce traitement automatisé va très loin, identifiant le nom, l’adresse, la date et le lieu de naissance de l’auteur des faits, mais aussi du propriétaire du véhicule, jusqu’à sa profession! C’est, de manière déguisée, la volonté de créer un fichier d’antécédents judiciaires assimilable à un fichage systématique et une stigmatisation outrancière des automobilistes. »

 Une stigmatisation à laquelle  avait échappé l’Angolais le 25 ans, délinquant multirécidiviste qui faisait l’objet d’une simple mesure de placement sous surveillance électronique depuis un peu plus d’un an. Il est fortement soupçonné, le jour même de la tuerie de Toulouse le 19 mars, d’avoir sauvagement assassiné une adolescente d’une quarantaine de coups de couteau à Bouguenais (Loire-Atlantique) et dans une commune voisine, d’avoir poignardé un promeneur et tenté d’étrangler un retraité –voir notre édition en date du 20 mars.

N’en doutons pas ,il se trouvera de bonnes âmes pour expliquer que ce fils de l’immigration sauvage et « chance pour la France », est une victime de la société…comme le sont aussi certainement les membres de la communauté dites des « gens du voyage » qui  auraient fourni au voyou bi-national Mohammed Merah les armes pour son équipée sanglante.Quant au père de ce dernier, l’Algérien Mohamed Benalel Merah, qui a purgé il y a quelques années à Toulouse une peine de prison pour trafic de stupéfiant, il a déclaré lundi soir qu’il allait porter plainte contre la France « pour avoir tué » son fils…

Il nous revient alors en mémoire cette déclaration du Capitaine Rabah Kellif, officier Français qui s’opposa aux ordres d’un sinistre gaulliste, le général Katz, qui livra à Oran en 1962 civils Pieds-noirs et harkis aux couteaux des égorgeurs du FLN. « Nous, les Patriotes Français de souche nord africaine, déclarait le capitaine Kellif, aimons trop la France pour permettre à quiconque de l’insulter ou de cracher sur son drapeau pour lequel nous avons versé tant de sang, donné notre jeunesse et la vie de beaucoup des nôtres.Alors la France qui a accueilli des étrangers de toutes origines et nationalités, doit être respectée chez elle, et ceux qui ne l’aiment pas doivent avoir la décence de ne pas manger son pain et de ne pas cracher dans la soupe qu’elle leur sert. »

 Une décence que n’ont pas plus largement les représentants du lobby immigrationniste. Ces « communistes, syndicalistes, champions des droits de l’homme, pyromanes de l’identité française, adeptes de la diversité ethnique » notait José Castano, pour qui l’ignominie ne saurait exister que chez ces salauds de Gaulois qui ont le front de contester la submersion dont ils sont victimes.

De manière emblématique, dans un article paru sur le site Atlantico, Gilles-William Goldnadel évoque le cas de « ce journaliste (Nicolas Chapuis,du  Nouvel Observateur, NDLR) dépité d’apprendre l’identité de l’assassin (Mohammed Merah, NDLR) », et qui via twitter, donne alors son sentiment « à un confrère helvétique tout aussi progressiste que lui : putain, je suis dégouté, le type est un islamiste, j’aurais tellement préféré que ce soit un facho »…

Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que l’ensemble du microcosme,  de l’UMP  au Front de gauche, des saillies de Sarkozy à celles de Mélenchon ou Moscovici, aient conspué les déclarations de Marine Le Pen réagissant à la terrible affaire Merah. Comme Bruno Gollnisch et d’autres dirigeants du FN l’ont fait, la candidate de l’opposition nationale s’est contentée de souligner de nouveau les conséquences de la folle politique migratoire de l’UMPS, de l’échec de l’assimilation, le lien entre immigration non maîtrisée et insécurité. « Combien de Mohammed Merah parmi les enfants de ces immigrés non assimilés ? » Oui cette question doit être posée et nos compatriotes ont le droit de savoir !

 

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