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C’est aujourd’hui que notre pays verra débarquer officiellement,  en provenance  d’outre-Rhin,  un premier contingent de  200 immigrés Syriens et Irakiens   selon une communication  de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra). Ils seront logés à Champagne-sur-Seine (Seine-et-Marne). «Les 9, 10 et 11 septembre,  1000 personnes venues d’Allemagne et ayant obtenu le statut de réfugiés en France arriveront sur notre territoire » a encore  indiqué un autre communiqué de la Croix-Rouge française. Ce même mercredi,  le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, devrait  présenter à Strasbourg son plan visant à disperser au sein   des  différents pays de l’UE une première vague  de 120 000 immigrés clandestins rebaptisés réfugiés pour la circonstance. Alors que les images de la petite île grecque de Lesbos,  submergée par le débarquement d’au moins 20 000  « migrants », ont fait le tour du monde,   Donald Tusk, le très atlantiste  président du Conseil européen,  a estimé  lundi que cet  « exode » migratoire en direction de l’Europe  pouvait   durer « des années… »

La pression des officines mondialistes est à son maximum. Certes l’Allemagne de Mme Merkel  (une Allemagne encore  allemande mais  qui est « un cercueil en or », car  condamnée à disparaître  d ’ici la fin  du siècle du fait d’une démographie  autochtone particulièrement  anémiée) n’a pas eu besoin d’injonctions pour se prononcer pour un système de « quotas  d’immigrés sans plafond » ( !!!).

Cela n’a pas empêché l’ONG Amnesty International  d’intimer l’ordre  aux autres pays de l’UE  de libéraliser, dans le sens le plus laxiste,  leurs  règles d’asile,  et d’exiger notamment, pour accélérer les flux d‘immigrés vers le cœur de l’Europe,  la mise en place de routes sécurisées.

Le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR),  dirigé par Antonio Guterres, celui là même qui a été entendu lorsqu’il a réclamé la semaine dernière l’accueil dans un premier temps  de  200 000 migrants-demandeurs d’asile dans l’Union européenne,   a tout aussi « logiquement «  tiré à boulets rouges sur la Hongrie. Les représentants du peuple hongrois, en première ligne lui aussi face à  l’invasion,   ont en effet eu le front de voter dernièrement une loi qui sanctionne pénalement l’immigration illégale. Une réaction législative qui va « conduire au chaos », a averti  officiellement le HCR, attaché à la règle supranationale  du laisser-faire laisser-passer qui s’accorde parfaitement à la philosophie  globale de cette Europe bruxelloise.

Le PS prend sans surprise toute sa part dans cette  même guerre psychologique  et médiatique contre l’identité des peuples européens. Sous le haut patronage d’une pointure intellectuelle comme Djamel debouze, celui là même qui nous  expliquait il y a peu que « l’islam »  était « présent en Europe depuis 3000 ans » (sic), les socialistes tenaient  un meeting de « soutien aux migrants » au Cirque d’hiver dans le 11ème arrondissement de la capitale.

Devant quelques centaines de militants et permanents socialistes,  le maire de Paris Anne Hidalgo, l’ex Premier ministre Jean-Marc Ayrault, les  comédiennes Virginie Ledoyen et Jane Birkin, le premier secrétaire  du PS Jean-Christophe Cambadélis, le président de l’assemblée « nationale »  Claude Bartolone,  ont fait assaut de phrases creuses, de poncifs affligeants, de  propos irresponsables et d’humanisme en carton pâte.  « 24.000 réfugiés, c’est la part que (Bruxelles) avait proposé à la France. Ce n’est pas peu. C’est la part allouée. Après, il y en aura d’autres » a promis notamment hier soir M Cambadélis…

Au même moment, le Premier ministre Manuel Valls présentait pour la quatrième fois ses vœux avant le nouvel an juif, Roch Hashana,   à la synagogue Nazareth à Paris. M . Valls  ne s’est pas contenté d’affirmer que «  le droit d’asile, c’est un droit universel », « qu’on ne trie pas (les immigrés clandestins accuillis)  en fonction de la religion. »,

Il a bien  évidemment condamné  lé développement  de la judéophobie  « cette négation rampante de la Shoah, cette haine des Juifs qui a grandi dans nos quartiers populaires (…), a contaminé les esprits d’une partie de notre jeunesse. » Il  a fustigé pareillement ce qu’il nomme  « un antisionisme de façade », « cet antisémitisme qui ne dit pas son nom » évoquant  « cette polémique insensée »  lors de la tenue à l’occasion de   Paris-Plage d’une journée Tel Aviv sur Seine qui avait déclenché  l’hostilité bruyante  de nombreux « antisionistes».  « Derrière une condamnation sans fondement de la ville de Tel Aviv, cachait mal, pour certains en tout cas, une détestation de l’Etat d’Israël et du peuple juif » a affirmé le Premier ministre.

Surtout, Manuel Valls s’est saisi de cette occasion pour annoncer  que les flux migratoires invasifs,  à très très haut débit,  que nous allons  subir dans les semaines, les mois, les années à venir, du moins si les Français ne font pas dans les urnes la révolution patriotique qui s’impose,  seront soutenus par un renforcement  de la propagande et de la législation  dite antiraciste.

Il a ainsi averti  qu’ «une vaste campagne de communication gouvernementale» serait lancée dans les prochaines semaines  pour sensibiliser une  nouvelle fois la population à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme, « Chaque préfet, chaque procureur de la République a été chargé d’en mettre en œuvre le volet territorial, et en particulier sa dimension répressive, pour punir les délits, avec la sévérité de nos lois », a-t-il précisé.

Laissons pour conclure  la parole à feu le  sociologue  de grand renom Jules Monnerot, ancien membre du Bureau politique du FN qui notait (cf « Penser l’antiracisme», éditions Godefroy de Bouillon) que l’antiracisme est « une supecherie de masse » dont « l’objectif »  « est de nous conduire au résultat toujours recherché en matière de terrorisme intellectuel : mettre en face d’une catégorie de suspects, de coupables présumés » (les « de souche » généralement) « une catégorie accusatrice, les antiracistes, qui décréteront de   racisme, tous ceux  après qui ils en ont. Il y a donc des groupes et des personnes qui seront toujours, partout  et quoi qu’ils fassent, antiracistes et, à l’inverse, les groupes et les personnes qu’ils désigneront seront réputés racistes.»

« Derrière l’emploi de termes comme  raciste  et antiraciste , nous ne trouvons pas une doctrine susceptible d’être réfutée. Il s’agit d’une pure logomachie, jusqu’ici d’une surprenante efficacité, bref d’une réussite dans une de ses opérations de guerre sémantique qui caractérise notre époque. »

« Le but de cette opération  de diversion »  notait-il encore, «  est d’interdire d’examiner avec le sang froid nécessaire le type d’invasion que subit la France sous le nom d’immigration, d’évaluer les dommages déjà faits à l’identité française et de décider de la forme que doit prendre la résistance. Le but de cette grosse diversion,  l’opération antiracisme , est de faire en sorte que la situation ne soit pas examinée. »

« L’antiracisme des idéologues français (…) chez ceux qui ont réellement un projet, une volonté politique de modifier la teneur de la population française, ferait que le terme France, en cas de réussite de cette opération d’invasion acceptée, change tout à fait de sens.

« Supposons cette opération réussie, l’idée de la France comme œuvre historique de lignées où le regard rétrospectif de l’observateur peut discerner quelques chose comme une volonté, comme une collectivité ayant une mémoire, étant un passé et se concevant elle-même comme le présent et le passé, cette idée est effacée. Il n’y a plus de France. »

C’est là tout l’enjeu des années décisives qui attendent la France et les Français  affirme Bruno Gollnisch, « Avec nous avant qu’il ne soit trop tard », ce vieux slogan frontiste n’a jamais été autant d’actualité.

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