La personnalité de l’assaillant, Karim Cheurfi, un français de papier né en 1977 à Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis), est emblématique de la dérive islamo-racaille d’une certaine immigration, encouragée de facto par le laxisme criminel d’une justice gauchisante. Il avait été condamné à 20 ans de réclusion criminelle en 2003 devant une cour d’assises, pour trois tentatives d’homicide volontaire dont deux visant des policiers en 2001, à l’issue d’une course-poursuite et deux jours plus tard contre un policier qui le sortait de sa cellule et dont il avait saisi l’arme. Une peine ramenée à 15 ans en février 2005, ce criminel étant décrit par ses soutiens comme une pauvre victime de la société, de l’exclusion et du racisme. Cheurfi avait été brièvement interpellé et interrogé il y a quelques semaines suite aux menaces de mort contre des policiers dont il s’était rendu coupable…avant d’être libéré rapidement par le parquet selon certaines sources proches de l’enquête…
« Je laisserai à mon successeur un pays en bien meilleur état que celui que j’ai trouvé » déclarait sans rire François Hollande hier , se vantant de manière ahurissante d’un bilan en tout point désastreux dont Emmanuel Macron porte toute sa part. Ce dernier affirmait ce matin sur RTL que « Marine Le Pen n’est pas celle qui pourra protéger nos concitoyens ». Le programme du gourou d’En marche !, qui a avoué de manière bien pathétique dans cette même émission qu’il n’avait pas de plan pour lutter contre le terrorisme ( !) est pourtant aussi anémique que celui de M Fillon. Ils partagent ainsi le même refus de retrouver nos frontières, de limiter l’immigration, de restaurer le droit du sol, de doter nos forces de l’ordre et nos armées des moyens et des effectifs nécessaires pour parer aux menaces grandissantes.
D’autant que M. Macron, dans la logique purement anglo-saxonne et mondialiste qui est la sienne, défend plus ou moins implicitement le développement d’un communautarisme lourd de conséquence pour notre unité nationale, dans une France en voie de babélisation-tiers-mondisation accélérée. Un drague communautaire qui explique certainement qu’il est refusé d’exclure d’En marche ! Mohamed Saou, « un type bien » a-t-il dit, son référent dans le Val d’Oise, un proche de Marwan Muhammad. Ce monsieur rappelons-le, est le président du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) qui prône le communautarisme et pourfend le « racisme » des Gaulois, comme Macron insulte la France et les Français en les accusant d’avoir commis un crime contre l’humanité en Algérie.
Un CCIF qui a toute sa place dans le projet d’un candidat « qui est allé en Allemagne récemment pour dire toute l’admiration qu’il avait pour l’accueil de 1,5 million de migrants Outre-Rhin », « pour justifier l’autoroute migratoire qu’il veut instaurer entre Alger et Paris», comme l’a noté Marine. Un CCIF qui a touché des subsides de l’Open Society Institute de l’idéologue immigrationniste et bruxellois George Soros. Lequel a été mis en accusation par les autorités italiennes, sur la foi d’un rapport de Frontex, au moment ou l’Italie est confrontée à une invasion migratoire sans précédent. Medias-presse.info rapportait ainsi que « les bateaux des ONG qui viennent en aide aux migrants devraient les ramener au port d’escale le plus proche, le long de la côte nord-africaine, mais au lieu de cela, ils les emmènent en Italie. » Les bateaux en question sont « notamment ceux de Migrants offshore aid station (MOAS).Or, l’une des principales sources de financement de MOAS est Avaaz.org, à hauteur de 500.000 dollars pour ses opérations en Méditerranée. Et Avaaz.org est une émanation de MoveOn.org qui (…) organise des manifestations en faveur de l’accueil des immigrés illégaux. Or MoveOn.org appartient à George Soros. »
Face à la montée des périls, aux défis migratoires, démographiques, sociaux, économiques gigantesques auxquels sont confrontés la France , les pays européens affirme Bruno Gollnisch, les Français ont besoin d’une main ferme à l’Elysée pour naviguer dans la tempête, (re)prendre le bon cap, éviter les écueils. Nous nous rendrons aux urnes le 23 avril, fête de Saint-Georges. Cet officier romain mis à mort au IVème siècle pour avoir refusé de rendre un culte aux Dieux de l’Empire, torturé plusieurs fois jusqu’au trépas mais qui chaque fois ressuscita et multiplia les miracles. Saint-Georges, symbole lumineux du courage du soldat, des vertus martiales, dont la geste puise sa source dans notre plus longue mémoire. Saint-Georges qui dans « La légende dorée » de Jacques de Voragine, terrassa le dragon qui exigeait son tribut quotidien de chair fraîche et empoisonnait de son souffle tous ceux qui se trouvaient à sa portée… Cette élection présidentielle est en effet « un enjeu de civilisation ». Pas une voix patriote, souverainiste, national ne doit manquer à Marine. Tous aux urnes, au nom du peuple !