« Avec cette nouvelle affaire, nous dépassons maintenant toutes les bornes en obligeant les non-musulmans à consommer de la viande halal », écrit-il dans un communiqué, estimant que cette initiative « bafoue les valeurs républicaines ».
M. Meunier, mais aussi ses collègues MM. Myard et Luca qui ont dénoncé les hamburgers halal de Quick, en poussant leur raisonnement jusqu’au bout, auraient pu se demander pourquoi, apparemment, le personnel de mairie en question est sinon majoritaire, du moins très largement composé de musulmans suivant strictement les préceptes mahométans.
C’est pourtant là le résultat de l’action gouvernementale menée par la famille politique à laquelle ils appartiennent, l’UMP au pouvoir multipliant les concessions au communautarisme islamique, revendications religieuses stimulées par la poursuite de l’immigration de peuplement.
Jean-Marie Le Pen le rappelait le 10 janvier dernier, « les jeunes Français d’aujourd’hui doivent vivre dans un pays où pas une semaine ne se passe sans que l’on apprenne l’ouverture d’une mosquée, l’extension d’une autre, le tout avec l’aide de l’argent public, aide pourtant interdite au nom du principe sans cesse bafoué de la laïcité ».
« Leurs grands parents n’ayant pas su ou voulu conserver cet héritage fabuleux, les jeunes vivent dans une France où les églises commencent à être détruites par les municipalités qui n’ont plus les moyens financiers de les entretenir. Dans le même temps, l’Etat, les départements, les régions financent à fonds perdus, par milliards, la rénovation des banlieues saccagées sans cesse par les racailles dont Sarkozy devait nous débarrasser mais qui n’ont jamais sévi avec autant d’impunité… ».