Nos compatriotes ultra-marins vivant notamment en Guadeloupe et en Martinique, comme ceux résidant en métropole, sont également victimes des conséquences d’une insécurité largement générée par l’immigration de peuplement, l’échec de l’assimilation, la montée des tensions inter-religieuses et inter-ethniques.
Beaucoup d’antillais nous signalent de manière croissante les insultes, les agressions dont ils font l’objet et se tournent de plus en plus nombreux vers le Front National. Un Mouvement qui à l’instar de Bruno Gollnisch, notamment au parlement européen, entend « défendre l’identité et l’économie d’une France d’Outre-mer qui n’est pas épargnée par les ravages de la mondialisation ». « Communauté antillaise qui en métropole même, est frappée comme les autres français dans les quartiers pluriels par les exactions de la racaille ».
Antillais qui comme les bretons, les normands, les provençaux, les alsaciens, et toutes les autres composantes de notre peuple, « sont victimes de la préférence étrangère » et sont trop souvent considérés « comme des citoyens de seconde zone. » « C’est à juste titre que de nombreux antillais ont manifesté leur colère devant l’absence de réactions du gouvernement pour condamner le crime barbare de Claudy Elisor. « Le FN ne renonce pas pour sa part à défendre tous les Français » et Bruno Gollnisch apporte « son soutien dans cette épreuve à la très soudée communauté antillaise. »