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Face aux barbares, Gollnisch apporte son soutien à nos compatriotes antillais

Après  Ibrahim D. 19 ans, hier,  son frère, Demba D. a été arrêté ce matin par la police à proximité de la cité 212 au Blanc-Mesnil. Interpellations, déjà au nombre de  six, qui interviennent dans le cadre de l’enquête actuellement menée pour retrouver les auteurs du lynchage d’un  de nos compatriotes antillais,  Claudy Elisor, passé à tabac jusqu’à ce que mort s’en suive par une dizaine de jeunes dans la nuit du 31 décembre.  Le tort de ce père de famille  de 33 ans ? Avoir refusé l’entrée de la soirée qu’il animait à une racaille qui est ensuite revenu avec sa bande pour se venger.

 Nos compatriotes ultra-marins  vivant notamment  en   Guadeloupe et  en Martinique,  comme ceux résidant  en métropole, sont également  victimes  des conséquences  d’une insécurité largement générée par l’immigration de peuplement, l’échec de l’assimilation, la montée des tensions inter-religieuses et inter-ethniques.

 Beaucoup d’antillais nous signalent de manière croissante les insultes, les agressions dont ils font l’objet et se tournent de plus en plus nombreux vers le Front National. Un Mouvement qui à l’instar de  Bruno Gollnisch, notamment  au parlement européen, entend « défendre l’identité et l’économie  d’une  France d’Outre-mer qui n’est pas épargnée par les ravages de la mondialisation ». « Communauté antillaise qui  en métropole même,  est frappée  comme les autres français dans les  quartiers pluriels  par  les exactions de la racaille ».

 Antillais qui comme les  bretons, les normands, les provençaux, les alsaciens, et toutes   les autres composantes de notre peuple, « sont victimes de la préférence étrangère » et sont trop souvent considérés « comme des citoyens de seconde zone. » « C’est à juste titre que   de nombreux  antillais ont manifesté leur colère devant l’absence de réactions du gouvernement pour condamner le crime barbare de Claudy  Elisor. « Le FN ne renonce pas pour sa part   à défendre tous les Français » et Bruno Gollnisch apporte « son soutien  dans cette épreuve à la très soudée communauté antillaise. »

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