Dans ce contexte où tous les indicateurs sociaux sont dans le rouge, le JDD (information reprise par Novopress) rapportait le 26 décembre que selon les chiffres de la préfecture de Seine-Saint-Denis, ce département compte 150 000 clandestins (soit 10% de la population) et 450 000 étrangers en situation régulière (environ 30% de la population) !
« Avec de tels chiffres, il est facile de se rendre compte que les estimations officielles citées depuis plusieurs dizaines d’années par les différents gouvernements et les médias sont totalement fausses. Un exemple ? En 2004, la Direction centrale du contrôle de l’immigration et de la lutte contre l’emploi clandestin (Diccilec) avançait le chiffre de 200 000 immigrés en situation irrégulière en France…. Un chiffre que l’on peut multiplier par 4 voire 5 et même plus si l’on intègre la Guyane, Mayotte et les départements d’Outre-Mer. »
Une immigration de peuplement extra-européenne qui, au-delà même des problèmes politiques, sociaux, culturels et identitaires qu’elle pose, contribue bien évidemment puissamment à tiers-mondiser notre pays et qui influe directement sur la situation économique de nos compatriotes les plus modestes.
Nous avons déjà cité sur ce blog l’ouvrage du spécialiste des migrations Jean-Paul Gourévitch, « Le coût réel de l’immigration en France » (2008) qui comparant les dépenses annuelles que l’État consent pour les immigrés avec les recettes qu’il encaisse théoriquement de leur part, parvenait à la conclusion d’un solde négatif pour le contribuable français de plus de 26 milliards.
Nous nous sommes fait aussi l’écho il ya quelques mois des travaux de Yves-Marie Laulan, économiste et président de l’Institut de géopolitique des populations, qui estime le coût annuel de l’immigration en France à 36 milliards d’euros, chiffre qui apparaît à Bruno Gollnisch encore plus proche de la réalité. Il s’appuie notamment sur les études du prix Nobel Maurice Allais mais aussi des professeurs d’économie Jacques Bichot et Gérard Lafay avec comme données principales les dépenses en maintien de l’ordre, de la justice, frais de scolarité, de santé, formation professionnelle, logement, coûts supplémentaires dans les quartiers dits « sensibles », les aides sociales diverses ou le regroupement familial.
La candidate et présidente du FN est (aussi) la seule à faire figurer dans son programme la nécessité d’en finir avec le tsunami migratoire, ce n’est pas un hasard si cela lui vaut le soutien d’une très large fraction de la France d’en bas…