Dans une opacité la plus totale, imposée par les Etats-Unis et la technostructure européiste, et à l’heure ou nos agriculteurs ont été sacrifiés par l’LRPS sur l’autel de l’ultra libre échangisme euromondialiste, débute ce lundi à Bruxelles une nouvelle séance de négociations d’un Marché transatlantique(Tafta) lourd de menaces. Si les peuples ne doivent pas être éclairés sur ce qui est en train de se jouer ici, nos compatriotes ont été invités à se réjouir des résultats du sommet qui a réuni cette fin de semaine les 28 dirigeants européens. Il fallait s’y attendre, David Cameron, qui ne souhaite pas la sortie du Royaume-Uni de l’UE, et les pontes bruxellois qui craignent le Brexit, se sont félicités de concert de l’accord obtenu vendredi soir . «Accord. Soutien unanime pour un nouveau pacte pour le Royaume-Uni dans l’UE», a indiqué le président du Conseil européen Donald Tusk sur Twitter. «J’ai négocié un accord qui donne au Royaume-Uni un statut spécial dans l’UE» a affirmé dans un tweet le Premier ministre. Comme le notait Le Figaro, relayant l’analyse du FN, «Si la Grande-Bretagne menace de sortir de l’Union européenne en réclamant de nouvelles concessions de la part du Conseil européen, c’est parce qu’elle est en position de force (…). Mais les frontistes n’attendaient pas grand-chose de ce sommet européen car, pour eux, les Britanniques disposent déjà de l’essentiel»: «Monnaie, banque centrale, frontières, budget et système bancaire.» «Cinq critères dérogatoires extraordinaires» relève le député FN Bernard Monot, qui explique que «Le Franxit (souhaité par l’opposition nationale) sera collé au modèle du Brexit et nous réclamerons les mêmes critères que le Royaume-Uni.»
La France, elle, a été dépouillée des attributs de sa souveraineté par des gouvernements qui avaient pourtant le devoir d’en être les gardiens. Les partis du Système ont abandonné notre capacité de battre monnaie aux technocrates de Bruxelles et de la Banque centrale de Francfort. Notre capacité de faire la guerre et de conclure la paix a été pareillement cédée encore plus avant à Washington du fait de notre inféodation toujours plus poussée à l’Otan. Quant à notre maîtrise du territoire et de la population, élément de souveraineté peut être le plus aisément perceptible et tangible, chacun peut constater quotidiennement de quoi il retourne dans les centaines de territoires perdus de la République et autres cités de non-droit.
Cette connivence de fait entre la droite et la gauche dite de «gouvernement», cette identité des politiques suivies, des soumissions, des reculades, des renoncements est une évidence qui saute aux yeux de tout Français un peu attentif. Il est donc assez surprenant de voir des militants socialistes s’étonner et s’indigner (ils n’avaient pas encore compris ?!) de l’acceptation par ce gouvernement du modèle austéritaire inspiré par Bruxelles. Il en va ainsi du projet de loi de Myriam El Khomri sur le droit du travail, accueilli par des cris d’orfraies dans les fédérations socialistes -du moins ce qu’il en reste. Un texte porteur potentiellement, comme l’a noté le FN, «de lourdes régressions sociales pour les salariés » et d’un «renforcement des dérives communautaristes au sein des entreprises.»
Une connivence droite-gauche qui s’exerce aussi pour maintenir aussi chasses gardées, fiefs, fromages et prébendes, et qui s’est pleinement manifestée au sein du Conseil régional d’Ile-de-France. Elu au sein du groupe FN présidé par Wallerand de Saint-Just, Jean-Lin Lacapelle indiquait samedi sur France 3 comment le PS et Les Républicains ont fait un marché. Cet accord a été conclu entre et la présidente LR de cet exécutif régional, Valérie Pécresse, et l’élu PS Carlos Da Silva, un petit ponte hystériquement anti FN (à défaut de briller dans d’autres domaines), qui parle comme un vieux tract et évoque «l’idéologie nauséabonde » (sic) du FN. Ils se sont entendus pour empêcher les élus Front National de siéger au conseil d’administration des lycées en Ile-de-France.
« Valérie Pécresse et Carlos Da Silva sont de grands copains dans les coulisses et de grands opposants dans l’hémicycle. je trouve cela un peu regrettable pour la démocratie» A noté Jean-Lin Lacapelle, tandis que Carlos Da Silva confirmait sur tweeter le deal conclu avec Valérie Pécresse.
Un front ripublicain qui met un peu de baume au cœur de Clothilde Chapuis, à la tête de la Licra (Ligue contre le racisme et l’antisémitisme) en Gironde et qui a été particulièrement démoralisée par la campagne régionale dynamique et fructueuse menée par le FN sous la houlette de notre ami Jacques Colombier dans cette région.
Dans l’édition en ligne du journal Sud-Ouest, Mme Chapuis s’inquiétait hier de la percée du FN dans « des territoires trop négligés par les associations antiracistes et citoyennes » (sic). Mais elle rappelait les moyens mis à la disposition des officines dites antiracistes car « La Licra est soutenue par des gens de droite et de gauche». Ce qui permet à cette coquille vide, vieillissante mais toujours financée avec nos impôts, « d’aller à la rencontre des jeunes via nos partenariats habituels avec l’Éducation nationale, les structures des communes et les associations sportives »; « à la rencontre des seniors dans les clubs seniors », « des responsables politiques locaux de tous les partis républicains. Je dis bien républicain » (sic).
C’est aussi au nom d’une République bien peu romaine dans son esprit, au nom d’une République universelle mais bien peu française, que cette classe politicienne s’acharne par bêtise, lâcheté, impuissance ou idéologie, à vider notre nation de sa substance. Des hautes sphères bruxelloises à la moindre antenne croupion de la Licra, ce sont les mêmes idées mortifères qui circulent. Ce sont avec elles qu’il faut rompre. Pour la France et les Français d’abord.
Michel Sergent dit
Alliez-vous avec Donald Trump .
Tartempion dit
Pour redevenir Français, … restons d’abord à l’ECART du referendum anglais ! …
Gardons-nous de prendre fait et cause … pour les anglais,
et de croire qu’ils … « voudraient » … sortir de l’europe …
car en cas de refus, nous pourrions en subir le contre coup.
De même, s’ils décidaient de sortir de l’europe,
gardons-nous de croire … à notre propre victoire …
En effet, depuis 70 ans, quels sont les Pays
à l’origine de notre décadence culturelle …
et de la décadence culturelle de beaucoup d’autres pays ?
Réponse : l’angleterre et les états-unis :
films, biteuls, music pop, yéyé, hippies, drogue, punk, marketing, management, communication,
En conséquence, pas moyen d’exister et de penser … de façon française,
surtout économiquement …
Tout cela est pensé depuis oxford et les clubs.
Quant à la reine d’angleterre, elle a eu le culot d’inaugurer en 2014,
dans la Cité à Paris, une allée, ou un square, « reine elisabeth » …
Quelle discrétion ! Quel respect pour notre personnalité !
C’est comme si nous suggérions une « Place Louis XIV » à Londres …
C’est pourquoi, je maintiens que le referendum anglais est …
un Cheval de Troie, … une mise en scène, … un attrape nigauds !!!
En effet, ce referendum est … trop insolite, … trop démocratique, ….
pour être honnête. On nous cache quelque chose …
D’ailleurs, le bizarre nigel farage prétend ne pas être anti-européen, …
mais vouloir SEULEMENT une « autre europe » !
Ah bon ? Mais que veut-dire un tel galimatias ? typiquement anglo-saxon …
(encore que les saxons n’y soient pour rien !
car on ajoute « saxon » pour éviter de dire « les anglais » tout court, ou « les anglo-américains » ;
piège sémantique)
Fable de La Fontaine : « le Chat et un vieux Rat »
Un chat vient d’attraper beaucoup de souris, en faisant le mort.
Mais d’autres souris subsistent,
et il leur a promis de TOUTES les attraper.
Pour cela, il blanchit sa robe et s’enfarine,
et de la sorte déguisé, se blottit dans une huche ouverte.
Lafontaine nous conte ainsi la suite de l’histoire.
« La gent trotte menu s’en vint chercher sa perte.
« Un Rat sans plus s’abstient d’aller flairer autour.
« C’était un vieux routier ; il savait plus d’un tour ;
« même il avait perdu sa queue à la bataille.
» Ce bloc enfariné ne me dit rien qui vaille »,
s’écria-t-il, …de loin, … au général des chats :
» Je soupçonne dessous encore quelque machine.
» Rien ne te sert d’être farine ;
» car quand tu serais sac, je n’approcherais pas. »
« C’était bien dit à lui ; j’approuve sa prudence.
« Il était expérimenté,
« Et savait que la méfiance
« est mère de la sûreté. »
AL dit
Complètement d’accord avec cette analyse. Mais pour rompre avec ces idées mortifères, les principales figures de l’opposition nationale doivent s’allier et abandonner toute logique groupusculaire. La scission du FN de 1999 a vraiment profité au système en place et l’ensemble des acteurs de l’époque n’ont rien fait pour l’éviter. Je suis d’avis que l’opposition nationale ne s’en est jamais remise et je suis nostalgique d’une période où se côtoyaient au FN Bruno Mégret, Bruno Gollnisch et Carl Lang.