L’idée de coopération entre États européens est une belle idée. Mais ce que les gouvernements et les fonctionnaires de Bruxelles en ont fait est une machine bureaucratique monstrueuse, légiférant, réglementant, intervenant dans tous les aspects de notre vie. Une machine à broyer les peuples et les identités.
Ces gens-là ont trahi toutes leurs promesses. Ils ont ouvert nos marchés, nos services publics et notre protection sociale à la concurrence mondiale sauvage, nos frontières à l’immigration et au terrorisme. Ils ont créé ou aggravé le chômage, les délocalisations, l’immigration, l’insécurité… Demain, avec la “ Constitution Giscard”, un pays européen pourrait être obligé de participer à une guerre que son gouvernement et sa population refusent !
L’Europe n’a de sens que si elle est facteur d’emplois, de richesses, de paix. Que si elle se fait au bénéfice des Européens. Cela n’est possible que si les nations d’Europe restent souveraines et maîtresses de leur destin.
Nous entendons défendre l’identité de la France française, dans une Europe européenne, en refusant l’entrée de la Turquie en Europe, en refusant que les islamistes prétendent imposer leur mode de vie dans notre pays, en refusant les directives de Bruxelles qui encouragent l’immigration massive, et en instaurant la préférence nationale et la préférence européenne dans tous les domaines, comme il était prévu à l’origine !
Nous entendons aussi défendre la souveraineté, l’indépendance et la sécurité de la France, en refusant la Constitution européenne et en organisant un référendum sur l’Europe, en rétablissant les contrôles aux frontières entre pays européens et, surtout, aux frontières extérieures de l’Europe, en refusant de confier à la Commission européenne nos pouvoirs en matière de police, de justice, mais aussi de diplomatie et de défense, en rendant aux états européens, dans tous les domaines, le droit d’opposer un veto aux décisions de Bruxelles.
L’Europe de Bruxelles a les droits de douane les plus faibles du monde : elle laisse tout entrer. Elle perd ainsi un million d’emplois agricoles et industriels par an. La prétendue “libéralisation” des services publics a pour but réel de permettre leur acquisition par des capitaux étrangers. Le commissaire Lamy (PS), chargé du commerce extérieur, veut la libéralisation mondiale des marchés de l’énergie, des postes, des transports, mais aussi de l’éducation et de la santé. L’euro coûte un point de croissance et des milliers d’emplois par an à la France. La politique de la Banque centrale européenne handicape nos exportations et les investissements.
Nous allons défendre l’emploi des Français, leur protection sociale et leur prospérité, en protégeant l’économie française et les économies européennes contre la concurrence mondiale déloyale, en imposant la préférence nationale et européenne dans tous les domaines, à commencer par l’emploi, en menant une politique agricole d’indépendance alimentaire, et en refusant la destruction des services publics voulue par Bruxelles au profit d’intérêts étrangers.
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