« Avec 26% d’opinions favorables (11% en juin), Jean-Marie Le Pen atteint aujourd’hui la cote de popularité la plus élevée de sa carrière politique » explique encore Le Point s’appuyant sur un sondage Ipsos publié dans ce magazine. Cette même enquête d’opinion indique également que 27% des personnes interrogées seraient susceptibles de voter pour le candidat national (+ 4 points par rapport à mai 2006). Jean-Marie Le Pen qui est crédité de 17% des suffrages (+3 points) au premier tour de la présidentielle dans le cas de figure où Dominique de Villepin se présenterait, de 12% (+2 points) si Nicolas Sarkozy était le candidat de la droite courbe ; soit en deuxième position derrière Ségolène Royal dans la première hypothèse, en troisième dans la seconde. Notons encore que c’est bien face à Nicolas Sarkozy que la marge de progression du candidat national est la plus importante, puisque les grands débats à venir dès l’automne permettront au porte-parole de la France française de démonter le double langage, l’esbroufe du président de l’UMP, d’exposer la nocivité de la politique menée et prônée par celui-ci. Car les prises de position du candidat des lobbies – droit de vote des immigrés, discrimination positive, poursuite de l’immigration, institutionnalisation de l’islamisme à travers le CFCM, alignement idéologique sur les positions euromondialistes…- sont aux antipodes des vœux d’une grande majorité de notre peuple et du programme d’indépendance, de liberté et de souveraineté nationale défendu par Jean-Marie Le Pen.