Une pétition circule actuellement afin d’obtenir la grâce présidentielle de M. Lajoye – ESE/CPE, BP 4-7187, 30 194 Nîmes cedex et contact@cepe-liberte.com) , déjà signée par plusieurs personnalités ( l’élu et membre du Bureau politique du FN Pierre Descaves, le journaliste Emmanuel Ratier, l’écrivain Alain Soral, l’éditeur Philippe Randa… Le « géopolitologue » Alexandre Del Valle, membre de l’UMP et proche du B’nai Brith, dont le nom apparaissait à l’origine sur la pétition, a finalement fait savoir qu’il n’avait pas signé celle-ci… Le texte signé par les pétitionnaires note fort justement que Michel Lajoye a été condamné plus lourdement que l’assassin des jeunes Sohane et Romain, et Emmanuel Ratier relève que l’écolo-gauchiste Alain Tradez, alors vice-président du Conseil régional de Nord-pas-de-Calais, qui avait été condamné en juin 2000 à 18 ans de réclusion criminelle pour l’assassinat du « nouveau compagnon de son ancienne épouse a été remis en liberté conditionnelle début juin »… On se souviendra aussi des six attentats à l’explosif commis contre les locaux du FN (QP des 8/11,11/11,19/12 2000 et 8/02/2001) par trois individus animés d’une haine délirante des nationaux. Le 22 février 2001, le tribunal correctionnel de Marseille avait condamné leur chef, Yves Peirat, à cinq ans de prison ferme (QP du 236/02/2001). Peirat était finalement sorti de prison au bout de trois ans et trois mois. Ce dernier devrait ( ?) comparaître prochainement en Cour d’assises pour la bombe qu’il avait déposé le 3 avril 1995 au domicile de Maurice Gros, alors Secrétaire départemental FN des Bouches-du-Rhône. Engin qui n’avait miraculeusement pas explosé et qui, à l’instar des autres, rappelait ce cadre frontiste, « était fait pour tuer ». Nous verrons la peine, si peine il y a, qui sera alors prononcée contre Peirat, ce « valeureux » supplétif du mondialisme…