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Le Référendum pour des « objectifs fondamentaux »

26 septembre 2006

Le Parisien a publié lundi un sondage CSA riche d’enseignement. A la question posée sur la manière dont fonctionne la société française, un Français sur quatre (25%) souhaite que le prochain président de la République « instaure une rupture avec le fonctionnement actuel de la société française ». 62% estiment qu’il convient «[d’aménager] le fonctionnement actuel de la société française ». Les personnes sondées sont seulement 6% à vouloir « [conserver] le fonctionnement actuel de la société française ». Questionnés enfin sur les personnalités politiques qui incarnent le mieux cette rupture, les ultra médiatisés Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal arrivent logiquement en tête à ce stade de la campagne (respectivement 43% et 39%) talonnés de près par Jean-Marie Le Pen (37%), devant les candidats trotskystes et dix points devant Philippe de Villiers. Invité à réagir à cette enquête, l’économiste Nicolas Baverez, proche du président de l’UMP, estime que « si la rupture n’intervient pas, nous continuerons à encaisser les chocs et les problèmes de fragmentation de la nation, des clivages ethniques et raciaux exploseront de nouveau avec des épisodes de violences politiques et sociales ». C’est en effet une évidence. Reste que, comme l’observe Jean-Marie Le Pen dans les colonnes du Parisien, qui juge le résultat de ce sondage « assez positif », les électeurs ne peuvent espérer le changement nécessaire « des gens qui ont dirigé le pays depuis trente ans ». « Si ces derniers avaient eu une aptitude à conduire soit la réforme, soit la rupture, ils l’auraient fait. Je pense qu’ils sont incapables de réussir l’une ou l’autre. Alors certains Français estiment qu’il est encore possible de faire des réformes au quotidien et par voie parlementaire. Moi je crois que sans révolutionner la France, il est nécessaire de faire un certain nombre de ruptures sur des objectifs fondamentaux comme l’immigration. Il faut les faire avec l’assentiment du peuple français et par le biais du seul moyen légitime démocratique que nous ayons : le référendum ». Référendum d’initiative populaire que seul le candidat national souhaite mettre en place pour libérer notre pays où la démocratie a été confisquée.

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