« Ce ne sont pas 7 000 sans-papiers qui ont été régularisés par Nicolas Sarkozy », a encore souligné Jean-Marie Le Pen, mais « 7 000 familles de clandestins », multipliant ainsi « par 3, 4 ou 5 » le nombre des immigrés illégaux qui resteront chez eux, chez nous. Mais là n’est pas le plus grave quand on sait que MM. Zapatero et Berlusconi en ont eux régularisés dans leur pays 1,5 millions, lesquels pourront demain venir s’installer dans une France sans frontières depuis Schengen. Si l’immigration-invasion se poursuit, nous serons « réduits en servitude », a averti le candidat national qui a réaffirmé que s’il était élu à la présidence de la République, il soumettrait par référendum à nos compatriotes la possibilité de recouvrer la souveraineté sur nos frontières. « Le Medef », « les grandes entreprises mondialistes », – complices en l’occurrence des syndicats marxistes – continuent d’affirmer que nous avons besoin d’immigration, arme qui a permis de tirer vers le bas les salaires manuels, a-t-il encore noté. En conséquence, les Français, appauvris, sont chaque jour davantage étrangers dans leur propre pays ; les immigrés eux-mêmes ont été piégés « par les promesses plus ou moins fallacieuses des hommes politiques de droite comme de gauche ». « Moi je suis un partisan de la différenciation, j’apprécie les civilisations, les ethnies étrangères mais je tiens à l’identité française », a-t-il encore relevé, « je souhaite que nous restions ce que nous sommes et je crois que les Français le souhaitent aussi » ; même s’il est admis que des gens qui souhaitent devenir français, qui aiment la France, le deviennent « avec les mêmes droits et les mêmes devoirs que nous ».