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Le candidat du peuple sur Canal +

18 octobre 2006

Jean-Marie Le Pen était dimanche l’invité de Laurence Ferrari sur Canal Plus dans l’émission « Dimanche + ». Le candidat à la présidence de la République a réitéré son souhait que les différents courants et personnalités patriotiques se rassemblent en vue de l’élection présidentielle et des législatives de 2007 : « Je renouvelle mon appel à l’union patriotique, dont naturellement je prendrai la tête puisque je suis le mieux placé de tous les candidats qui se réclament de la droite nationale pour l’emporter ». Questionné sur le point de savoir si Nicolas Sarkozy lui apparaissait être un « candidat redoutable », lequel n’est que « le candidat de la rupture avec lui-même », a-t-il précisé, Jean-Marie Le Pen a estimé qu’« il n’y a pas de candidature redoutable », d’autant que « la campagne électorale n’en est encore qu’à sa toute première partie ». « On sait très bien que, comme dans les spectacles, les vedettes américaines sont chargées de faire patienter la foule pendant que les chaises grincent et qu’il y a du bruit dans la salle ». Invité à donner son avis sur Ségolène Royal, il a observé que le Parti socialiste devait « trouver un gadget. Ce gadget pourrait être une candidature féminine, parce que c’est très mode, très tendance, c’est Europe du Nord ! ». Jean-Marie Le Pen n’a pas récusé, sur le plateau de Canal plus, le qualificatif de « populiste » dont l’affublent ses adversaires ; « ce n’est pas une injure, être le candidat du peuple, c’est valorisant », a-t-il déclaré, avant de répondre à Laurence Ferrari sur l’état d’avancée de ses promesses de parrainages : « ça s’avance », mais « assez difficilement ». « Je crois que j’aurai mes 500 signatures (nécessaires pour se présenter à la présidentielle) ». Mais si par malheur il n’était pas qualifié pour le second tour, le président du Front National a prévenu qu’il « n’appeler(ait) à voter pour aucun des responsables de la situation dans laquelle se trouve la France actuelle ». « Pensez-vous que ces gens-là, y compris M. Sarkozy, pourront faire demain ce qu’ils n’ont ni su, ni pu, ni voulu faire hier ? ».

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