Jean-Marie Le Pen s’est rendu, lundi, au Salon des Vins des vignerons indépendants, Porte de Versailles à Paris. Une visite qui s’inscrit dans la droite ligne de son combat pour sauver le monde rural français dont les euromondialistes ont programmé, à moyen terme, la disparition. Une nouvelle fois, le candidat à la présidence de la République a reçu le meilleur accueil. Mercredi 29 novembre, s’achèvera la « Marche verte », « pour les vignerons et les paysans », lancée par Jean-Marie Le Pen dans le Vaucluse à Mazan (FDA Quotidien du 17/11/2006) avec la présence de l’équipe Le Pen au « Salon professionnel international des techniques vitivinicoles » de Bordeaux. Une « Marche verte » organisée par Jean-Claude Martinez, spécialiste des questions agricoles, qui a vu une caravane nationale aller à la rencontre des professionnels du vin pour leur exposer les solutions prônées par le candidat Le Pen, pour assurer la survie d’une activité, d’un art diront certains, enracinée au cœur de notre civilisation. « Le projet en dix mesures pour faire gagner les paysans et les sortir de la crise profonde qui met en péril le secteur agricole depuis des décennies », pour assurer aussi la sauvegarde de notre indépendance alimentaire, a donc été exposé par le député européen frontiste tout au long de son périple ; ce dont ont rendu compte, souvent avec honnêteté, de nombreux articles parus dans la presse quotidienne régionale.