Nous aurons l’occasion d’y revenir, Jean-Jack Queyranne, président PS de la région Rhône-Alpes ainsi que six présidents de groupes politiques de cette même région comparaissaient mardi devant le tribunal correctionnel pour « avoir diffamé gravement Bruno Gollnisch devant cet exécutif régional, le 14 octobre 2005, au sujet de sa conférence de presse du 11 octobre, sans avoir cherché à s’informer et sans lui avoir laissé la possibilité de répondre. Bruno Gollnisch « qui n’est pas partisan de la judiciarisation du débat politique, social, historique ou moral n’aurait pas porté plainte s’il avait pu s’expliquer et si lui-même n’avait pas été poursuivi sur la base, notamment, de la déclaration en question ». « Cette procédure est en quelque sorte l’inverse de celle des 7 et 8 novembre derniers. Bruno Gollnisch est en position d’accusateur et non d’accusé », précise un communiqué émanant du groupe frontiste rhône-alpin.