Le journal télévisé de 20h sur TF1, le 5 décembre, a diffusé un reportage éclairant sur les violences verbales et physiques subies par les femmes dans les banlieues plurielles, en l’occurrence aux Minguettes près de Lyon. Une illustration confondante des pressions exercées sur la liberté des jeunes filles dans les cités où les caïds et les « barbus » ont mis à bas le respect élémentaire dû aux femmes. Un recul de civilisation qui ne semble pas intéresser plus que cela les féministes militantes… La journaliste qui commente des images où l’on voit des jeunes filles à l’allure masculine se promenant en survêtement avec une démarche de rappeuse ou arborant le voile musulman, explique que le voile en question n’est pas seulement un signe religieux mais « sert aussi à se protéger du regard de certains jeunes ». Deux « jeunes » en question expliquent alors face à la caméra qu’« une femme voilée on peut pas la regarder, une femme avec une minijupe on la regarde, le viol c’est par rapport à ça » ! Laetitia, une jeune « gauloise » vivant dans la cité, est elle aussi interrogée : « j’ai peur d’être victime d’une tournante » (viol collectif), explique-t-elle, « je suis une proie facile, je suis une Française, j’aurais préféré être une Maghrébine, avoir un grand frère, j’aurais du respect ». Un témoignage déchirant qui explique mieux qu’un long discours l’échec des politiques conjointes de l’UMPS depuis des décennies…et la nécessité absolue de porter Jean-Marie Le Pen à l’Elysée.