Une insécurité qui frappe aussi les Français avec « l’effondrement de notre outil de Défense » alors que « jamais notre sécurité internationale n’a été aussi menacée ». A cela s’ajoute l’insécurité économique, le candidat de l’Union patriotique citant « l’euro », « première cause de la dégradation du pouvoir d’achat des ménages », et qui « pénalise lourdement nos exportations et favorise les importations des pays non européens ». Et de constater ainsi que « la France va connaître en 2006 sa troisième année consécutive de déficit commercial record, accentuant la pénétration de notre marché intérieur, aggravant les difficultés de nos entreprises et détruisant nos emplois, c’est-à-dire les revenus de nos salariés ! Avec pour conséquence un chômage endémique, l’explosion du nombre des personnes bénéficiant des minima sociaux. « Le drame » a constaté Jean-Marie Le Pen, « c’est que tous ces chiffres ont littéralement explosé depuis le milieu des années 90, depuis que des gouvernements de déclin national ont sacrifié l’intérêt de nos enfants à la pétition de principe absurde des bienfaits du nouvel ordre économique mondial, en somme depuis que la France a supprimé ses frontières commerciales, monétaires, sociales et réglementaires. Insécurités encore et toujours a-t-il développé, dans le monde scolaire, par ce que « derrière les envolées égalitaires, c’est une machine à gaspiller notre jeunesse. Les parents confient leurs enfants à l’école mais elle ne transmet ni les valeurs morales, ni les connaissances qui forment les hommes ». Insécurité dans le monde agricole, nos dirigeants ayant sacrifié notre indépendance alimentaire, insécurité sanitaire puisque les gens au pouvoir « ont supprimé les frontières sanitaires, en organisant l’absolue circulation des hommes et du cheptel, qui est aussi la libre circulation des maladies humaines ou animales, au risque d’une catastrophe de grande ampleur en ces temps de retour des grandes épidémies dans la foulée du SIDA ».