L’article de « La Voix des Français » précise qu’outre les citoyens français, « ce nouvel « acquis social » sera également offert par les collectivités locales à toute personne vivant, régulièrement ou non, sur le territoire national. Ce qui ne devrait pas manquer d’accroître l’effet de pompe aspirante de l’immigration, puisque, sauf à les dénoncer, les traités européens signés par la France interdisent la préférence nationale ou européenne ». Soit la mise en place « du plus grand tunnel à immigration depuis le regroupement familial. Avec le droit opposable au logement, le gouvernement mettrait la dernière main à un projet d’accueil universel des étrangers. Arriver en France légalement ou illégalement, c’est la garantie de la santé gratuite avec la CMU ou l’AME, c’est l’assurance d’un emploi, du chômage ou d’un revenu minimum payé par les organismes sociaux ou les collectivités territoriales, des réductions sociales sur les transports en commun ou encore sur les factures d’électricité… ». « Et avec le droit opposable au logement, la garantie d’un toit payé par les contribuables Français ». Bref, comme l’ont souligné maintes fois Jean-Marie Le Pen et les dirigeants du FN, il s’agirait déjà de mettre en place une vraie préférence nationale dans le domaine du logement, la crise constatée étant directement liée à l’afflux de millions d’immigrés. Ce qu’a confirmé, « fin novembre 2006, la Chambre régionale des comptes d’Île-de-France qui a rendu public un rapport sur l’activité du Samu social. Ses observations portent sur les années 2000 à 2004. Selon ce rapport, 61,8 % des familles hébergées en 2004 étaient étrangères à l’Union européenne et 0,5 % venaient de pays membres. Encore faut-il préciser que l’on ignorait la nationalité de 30,2 % des « sans-abri » pris en charge… Le Samu social ne comptabilisait finalement que 7,5 % de familles françaises parmi les milliers de personnes ainsi hébergées en 2004, à 17 euros la nuit ».