Le blog de Bruno Gollnisch

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Le rôle indispensable de la nation

7 février 2007

Si Bruno Gollnisch a rappelé, dimanche sur France 3, que le programme du candidat Le Pen prévoyait une baisse de la fiscalité sur les ménages les plus modestes et une baisse des charges qui pèsent sur les entreprises, il a aussi évoqué le problème de « la concurrence déloyale de pays où les salariés sont payés 30 ou 40 fois moins que les ouvriers les moins payés en France ». D’où la nécessité de « rétablir une protection raisonnable de nos frontières », de « retrouver une certaine maîtrise de notre indépendance ». Et le Délégué général du FN d’observer que des pays non membres de l’UE, comme la Suisse ou la Norvège, « se tirent beaucoup mieux que la France de la situation économique actuelle ». « Nous ne sommes pas hostiles aux relations internationales mais nous voulons des relations internationales équilibrées sur des intérêts réciproques, des droits de douane qui rendent la concurrence plus équitable et moins injuste ». « Nous prônons des solutions non pas extrémistes mais nationales », a-t-il poursuivi, « la nation est un concept performant, le rôle de la nation c’est d’apporter les correctifs nécessaires à l’ouverture, à la mondialisation » qui ruine des pans entiers de notre économie. Balayant les pseudo-arguments des euromondialistes, Bruno Gollnisch a rappelé qu’« avant 1914, il s’exportait et s’importait entre nations européennes exactement la même part du produit national qu’aujourd’hui (bien sûr les masses en volume étaient moins importantes) » ; bref, « il y avait déjà un commerce international, on n’a pas attendu l’Union européenne ! ». L’UE, a-t-il ajouté, « c’était la liberté de circulation des capitaux et des marchandises à l’intérieur de l’Union, entre pays de même niveau de développement social ». « C’était peut-être viable mais à partir du moment où l’on insère cette Union européenne sans aucune protection dans un contexte mondial, où on fait disparaître les frontières ou qu’elles sont perméables aux flux migratoires, aux flux de produits fabriqués à vil prix par des millions d’esclaves du Tiers-monde, et bien il est évident que cela pose problème ! ».

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