Le blog de Bruno Gollnisch

  • Facebook
  • Flickr
  • RSS
  • Twitter
  • YouTube
  • Articles
    • Actualités
    • Billet d’humeur
    • Communiqués
    • Multimédia
      • Vidéos
      • Photos
      • Audio
    • Archives
      • Campagne interne
      • Législatives 2012
      • Municipales 2014
      • Parlement européen
      • Région Rhône-Alpes
  • Biographie
  • Doctrine
    • Argumentaire
    • Foire aux questions
    • Lectures (Politique)
    • Lectures (Histoire)
    • Lectures (Religion)
    • Lectures (Société)
    • Lectures (divers)
  • Liens
  • Contact
Vous êtes ici : Accueil / Actualités / « Le peuple de la Commune, c’est le FN ! »

« Le peuple de la Commune, c’est le FN ! »

8 février 2007

« Le fascisme d’aujourd’hui, c’est le totalitarisme du marché », « la logique du profit » et non pas « Hitler qui est mort en 1945 », a relevé Alain Soral, citant le proverbe persan qui dit que « même un âne peut donner un coup de pied à un lion mort ». Or, « le courage c’est d’attaquer les lions vivants ! ». Revendiquant son attachement à une France qui n’a ni commencé en 1789, ni disparu après, dont « le même esprit perdure au travers de transformations radicales », à « Jeanne d’Arc » comme à « Marianne », à « Louis XIV » comme à « Robespierre », l’écrivain a confié que « [son] cheminement intellectuel vers le FN tente beaucoup d’intellectuels de gauche honnêtes ». A cette occasion, il a salué la « capacité de rassemblement » de Jean-Marie Le Pen, « beaucoup plus rassurant que Nicolas Sarkozy », capable de fédérer dans une Union patriotique aussi bien Bruno Mégret que lui-même. Evoquant les mannes du célèbre philosophe et sociologue français Georges Sorel (1847-1922) qui défendait à la fois la patrie et la justice sociale, Alain Soral a dit se reconnaître dans Jean-Marie Le Pen « qui aime le peuple et qui souhaite que le travailleur honnête puisse s’élever par son travail ». Un Front National, a-t-il poursuivi, « Mouvement des ouvriers, des petits patrons, des commerçants », qui incarne « le peuple de la Commune ». L’écrivain a encore précisé que pour lutter contre la chape de plomb qui s’abat sur la France, il n’excluait pas, dans le cadre de ce combat, de rentrer au FN qui a su apporter « une réponse aux évolutions de la société française ». Il a par ailleurs confié avoir rencontré il y a peu Alain de Benoist, lequel s’est réjoui de son engagement dans la campagne menée par le FN, cette figure intellectuelle de la « Nouvelle droite », dont la renommée s’étend bien au-delà de nos frontières, lui ayant dit qu’il se « félicitait de l’évolution du FN ».

Similaire

Classé sous :Actualités

Rechercher

Inscrivez-vous à la lettre d’information

Multimédia

Intervention de Bruno Gollnisch au colloque des 50 ans du Front National

Les conversations avec Bruno Gollnisch : un homme d’état au Front National

Jean-Marie Le Pen et Bruno Gollnisch rendent hommage à Roger Holeindre

Débat sur RT France au sujet de l’affaire Ghosn

POLITMAG – Plan immigration : de l’affichage politique – Assurance chômage : une réforme explosive

Suivez Bruno Gollnisch

  • Facebook
  • Flickr
  • RSS
  • Twitter
  • YouTube

Politique de confidentialité