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Vous êtes ici : Accueil / Actualités / Les Français veulent le candidat Le Pen

Les Français veulent le candidat Le Pen

6 mars 2007

« Si je n’ai pas les parrainages (…) je continuerai la campagne », mais ce sera « une catastrophe » – notamment financière – pour le FN a rappelé Jean-Marie Le Pen vendredi sur BFM. L’ex-Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, interrogé sur ce sujet dimanche lors du « Grand Rendez-vous » Europe 1/TV5 Monde/le Parisien, a estimé qu’il serait « profondément regrettable » que Jean-Marie Le Pen, mais aussi Dominique Voynet, Olivier Besancenot ou José Bové « ne puissent se présenter à la présidentielle faute des parrainages nécessaires ». Questionné sur le fait d’apporter lui-même son parrainage, Jean-Pierre Raffarin a même répondu qu’il « le ferait si les grandes familles politiques se mettaient d’accord pour faire un appel à leurs élus ». De son côté Dominique Paillé, député sarkozyste des Deux-Sèvres a estimé que « si une famille politique représente un courant d’idées, il faut qu’il participe au débat démocratique ». Si Jean-Marie Le Pen était privé du nombre de signatures nécessaires, « les deux partis majeurs (de l’Etablissement: UMP et PS) y auraient le plus à perdre, puisque le vote protestataire se déporterait sur les candidats antisystème » a relevé Mme Paillé. Au PS, si Laurent Fabius a appelé de ses vœux « un système où les grands courants d’opinion existent et puissent défendre leurs chances », le député maire d’Evry Manuel Valls a accusé le candidat de l’Union patriotique de se livrer à « une stratégie de victimisation », tandis que le socialo-trotskyste député de Paris Jean-Christophe Cambadélis, maître d’oeuvre du « harcèlement démocratique » contre le FN, affirmait avec la même duplicité que Jean-Marie Le Pen « a ses signatures » ! A croire que ces deux là se font du souci sur les chances de leur « championne » de pouvoir se qualifier pour le second tour… Relevons encore que selon un sondage Ipsos/Dell pour SFR et « Le Point », 58% des personnes interrogées (contre 41% en mars 2002) estiment que si le président du FN ne pouvait pas être candidat « ce ne serait pas une bonne chose pour la démocratie », contre 36% d’un avis opposé.

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