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Le défenseur de la communauté nationale

16 mars 2007

Interrogé sur l’idée de Nicolas Sarkozy de créer un « Ministère de l’Immigration et de l’Identité Nationale », Jean-Marie Le Pen a estimé qu’il s’agissait d’un « gadget », d’« une illusion », d’« un élément de campagne » utilisé par le candidat de l’UMP « pour prouver qu’il n’est pas éloigné des attentes des Français ». « Un ministère, cela dépend de ce qu’on met dedans » a-t-il ajouté, pointant le fait que M. Sarkozy n’avait pas eu cette intention lors de son long passage au Ministère de l’Intérieur depuis 2002…Le président du FN a relevé par ailleurs que l’immigration restait un « thème latent dans l’opinion, même si on essaye de le dérober à la vue des citoyens » depuis le début de la campagne. Il a relevé qu’il s’agissait toujours d’un « tabou » et que contester l’immigration amenait à « s’exposer à être taxé de racisme et de xénophobie », à partir du moment où l’on ose simplement s’interroger « sur l’accueil de la masse des immigrés » dont la collectivité nationale doit assurer la subsistance. Questionné sur sa définition de l’identité nationale, Jean-Marie Le Pen l’a définie de prime abord comme « le sentiment d’appartenir à la communauté nationale », comme « une manière de ressentir et de penser », qui implique aussi des « sacrifices » pouvant aller jusqu’au don de sa vie. Il s’est aussi félicité du fait que « la pression du FN sur la vie publique » a conduit certains candidats à « penser à ce sentiment national », à prendre en compte cet attachement de beaucoup de Français à la patrie. Il a tenu aussi à réagir à l’incroyable déclaration de Chirac qui, le 11 mars, a déclaré aimer la France. Le candidat de l’Union patriotique comparant cette saillie chiraquienne à un mari violent qui roue de coups sa femme et qui lui tient après la main en lui disant « je t’aime » quand la malheureuse est amenée aux urgences sur un brancard…

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