Jean-Marie Le Pen a salué « le record mondial de vitesse établi par le TGV le 3 Avril (574,8 km/h, pulvérisant le record de 1990 qui était de 515,3 km/h), un exploit qui illustre « un aspect de l’excellence française ». « N’en déplaise au commissaire européen Jacques Barrot » a souligné le candidat de l’Union patriotique, ce n’est pas « l’Europe » qui est « championne du monde », c’est la France, et c’est plus précisément une entreprise française, Alstom. La France est également « championne du monde » en ce qui concerne le nombre de trains à grande vitesse qui circulent sur son territoire. La France, et non l’Europe. Le gouvernement français a dû naguère arracher à la Commission européenne le droit d’aider Alstom qui traversait une mauvaise passe. Dans une Europe régie par une Constitution super-étatique, Alstom aurait coulé. Voilà pourquoi il est nécessaire de réorienter la construction européenne, en respectant et en rétablissant les souverainetés ».