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Stop ou encore ?

20 avril 2007

Jean-Marie Le Pen a répondu jeudi aux questions des journalistes du quotidien gratuit Metro qui l’interrogeait notamment sur le lien entre immigration et développement des pays pauvres. Avec l’absence de langue de bois qui le caractérise, le candidat de l’Union patriotique s’est dit « partisan de la coopération ». « Mais je ne me crois pas obligé de le faire quand ces pays ont réclamé leur indépendance, c’est-à-dire le droit de s’assumer eux-mêmes. Philippe Douste-Blazy me disait l’autre jour qu’on ne peut rien faire, qu’il y a le métissage et le co-développement. Alors, j’attends le jour où on sera contraint par la loi de se marier avec des gens qui n’ont pas la même couleur. Le Conseil représentatif des associations noires de France (Cran) d’ailleurs va être très mécontent parce qu’eux pensent que « black is beautiful » et que, par conséquent, il n’y a aucune raison à les forcer à se marier avec des Blancs. Et avec 2500 milliards d’euros de dette, le co-développement, on va le financer comment ? Vous savez ce que c’est l’Afrique ? C’est 1 milliard d’hommes. Alors on va continuer à envoyer de l’argent aux gouvernements en question ? ». Le candidat national a également évoqué dans les colonnes de ce quotidien les premières mesures qu’il entendait prendre une fois élu : « un audit, déjà. Parce que les chiffres de la décadence française sont truqués, qu’il s’agisse des chiffres de la délinquance, du chômage, de la dette, des systèmes sociaux, du nombre de fonctionnaires. Ensuite, il faut décréter l’immigration zéro pendant un temps donné. Les sans-papiers qui sont déjà là seront soumis à la règle de la préférence nationale. Et le message sera donné à tous les étrangers : ils peuvent résider en France à une condition, qu’ils assument eux-mêmes leur propre subsistance. Ils doivent payer leur loyer, assurer la scolarité de leurs enfants, leurs soins médicaux, leur aide sociale : c’est leur problème. La France ne le fera plus, elle n’en a pas les moyens. Je refuse de cautionner la prétendue générosité des bobos qui n’ont jamais vu d’immigrés que ceux qui vident leurs poubelles ».

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