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L’épilogue ?

2 octobre 2007

Le 23 novembre 2006 lors du match de foot PSG-Tel Aviv, le policier Antoine Granomort avait abattu le supporter du club parisien Julien Quemeneur et grièvement blessé Mounir Douchaer. Fonctionnaire du service régional de police des transports, il avait affirmé avoir voulu protéger sa vie et celle d’un jeune israélien agressé. Une affaire dramatique, avec de nombreuses zones d’ombres, qui avait été l’occasion d’une manipulation contre Jean-Marie Le Pen. Le président du FN avait porté plainte contre le procureur Marin pour « diffamation publique », celui-ci ayant en effet accrédité l’idée que les agresseurs des supporters israéliens étaient des lepénistes (FDA Quotidien du 29/11/2006). Quant à Antoine Granomort, il avait été immédiatement transformé en icône par les faiseurs d’opinion, tandis que Jean-Marie Le Pen s’interrogeait sur la tournure qu’aurait pris le traitement politico-médiatique de cette affaire si au lieu d’être antillais et sa victime bretonne, le policier qui avait tué ce jeune supporter avait été blanc et le tué un jeune de couleur. Reste que la statue de M. Granomort s’est depuis largement fissuré. On apprenait peu après qu’il avait déjà été entendu par l’Inspection générale des services (IGS), en tant qu’auteur d’une infraction en 2004. En l’espèce pour « escroquerie » et dénonciation d’infractions imaginaires, en l’occurrence il affirmait avoir été victime d’un enlèvement, de violences, et d’un viol collectif (FDA Quotidien du 1/12/2006). Comparaissant devant le tribunal correctionnel le 3 avril dernier, M. Granomort a été condamné à cinq mois d’emprisonnement avec sursis. Il encourrait jusqu’à cinq ans de prison et 375.000 € d’amende. Si au moment des faits ce fonctionnaire n’avait pas été suspendu, le 19 septembre, Antoine Granomort comparaissait devant le Conseil de discipline de la police, composé à parité de représentants de l’administration et des syndicats policiers, qui a proposé sa révocation. Cette mesure appartient désormais en dernier recours au ministre de l’Intérieur qui, en règle générale, suit les avis du Conseil… L’épilogue d’une bien triste affaire ?

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