Alors que Jean-Marie Le Pen a annoncé il ya déjà plusieurs mois qu’il ne se représenterait pas à la présidence de son mouvement lors du prochain congrès, le climat serein et amical qui régnait à Marseille dimanche entre les dirigeants du FN a surpris les représentants des medias, habitués à l’ambiance délétère qui règne entre les caciques des états-majors du PS ou de l’UMP. « Vous voyez qu’on peut se réunir Marine et moi sans avoir de poignard dans le dos ! » a lancé Bruno Gollnisch aux journalistes. Un exercice beaucoup plus compliqué quand il s’agit de réunir Xavier Bertrand et Jean-François Coppé ou Martine Aubry et Ségolène Royal…