Vendredi 18 Décembre s’est tenu dans le salon d’honneur de la sous préfecture de Villefranche sur Saône, le premier des deux débats prévus dans le département du Rhône. Animé par le sous préfet, Monsieur Bernard GUERIN, accompagné de 4 invités, l’historien Jean philippe Chatain, le député maire de Villefranche Bernard PERRUT, le député maire de Cours la ville Pascal Verchère, le sénateur maire de Gleizé, Elisabeth Lamure.
La veille, le journal LE PROGRES, désormais le seul quotidien à Lyon, avait donné le ton et annoncé la tenue du débat dans ses colonnes en déclarant : « Ce débat est fermé, les participants sont triés sur le volet…Eviter les dérapages qui proviendraient de l’extrême droite en est sans doute la raison. »…
Dans le public, 250 personnes effectivement triées sur le volet : représentants d’associations cultuelles, de maires de petites communes, deux classes de terminales, du Lycée Claude Bernard dont une appelée « Egalité des chances », des représentants nombreux de communautés extra européennes présentes dans le département.
Représentant Bruno Gollnisch et Jean Pierre BARBIER, Christophe BOUDOT, secrétaire départemental et candidat aux prochaines élections, a dû s’employer et se lever au milieu du débat pour prendre la parole, qu’on lui refusait depuis plus d’un quart d’heure.
Monsieur le sous préfet ayant une fâcheuse habitude de ne tendre le micro qu’à des historiens bien pensants, qu’à des représentants magrébins ou turcs, leur laissant longuement le temps d’exprimer leur point de vue, dont un particulièrement prolixe qui nous expliqua par le menu que la nation française était la véritable responsable des débordements et du malaise des jeunes des cités,et un autre, qui ne l’était pas moins se vantant d’être le porte parole d’un habitant sur 7, d’origine ou de nationalité turque et nous vendant les mérites de la république laïque de Turquie !!!
Monsieur le sous préfet ayant une fâcheuse habitude de ne tendre le micro qu’à des historiens bien pensants, qu’à des représentants magrébins ou turcs, leur laissant longuement le temps d’exprimer leur point de vue, dont un particulièrement prolixe qui nous expliqua par le menu que la nation française était la véritable responsable des débordements et du malaise des jeunes des cités,et un autre, qui ne l’était pas moins se vantant d’être le porte parole d’un habitant sur 7, d’origine ou de nationalité turque et nous vendant les mérites de la république laïque de Turquie !!!
Christophe BOUDOT, dénonçant un débat ficelé d’avance auquel le peuple ne peut participer, s’est fait reprendre à l’ordre assez violement par le représentant du gouvernement, il a pu rappeler quand même que ce débat dirigé ne s’appuyait que sur des mots et que la réalité s’imposait à tous : l’immigration et le communautarisme gangrènent nos villes. Il a pu rappeler également que de nombreux habitants étaient ulcérés par l’immigration massive et visible de Villefranche et la construction en quelques années de 4 mosquées différentes dans la ville.
Tout au long des interventions, les mots de métissage et de diversité ont été les plus employés, notamment par le préfet qui en a usé et abusé les préférant manifestement à ceux d’assimilation et de patrie, désormais tabou (l’assistance nombreuse se montrant bruyamment et entièrement solidaire du discours préfectoral et adorateurs de cette France plurielle et métissée). Ma fierté personnelle aura été de me faire tancer par un préfet de la république, digne représentant de l’Etat Sarkozy et d’avoir pu porter quelques minutes la voix du peuple, seule voix de la résistance française.
Nous n’avons rien à attendre d’un débat comme celui-ci, dans les préfectures, dégoulinant de bien pensance, les partis de droite et de gauche, et les associations subventionnées étant d’accord sur tout, la cinquantaine de lycéens ayant bien appris la leçon et les codes du dogme officiel de l’anti racisme, les ressortant à la moindre occasion.
Pourtant, nous tenons le terrain, nous affirmons notre vitalité politique et ne laissons pas le champ libre à ceux qui ont tous les pouvoirs et qui voudraient bien nous cantonner hors de leurs débats stériles.
Christophe BOUDOT
Secrétaire départemental du Front National du Rhône
Secrétaire départemental du Front National du Rhône