L’affaire rebondit aujourd’hui, la chaîne de restauration rapide Quick propose depuis le 30 novembre des produits qui respectent le rite musulman dans huit de ses restaurants; tous les sandwichs sont réalisés avec de la viande halal, et pour les recettes comportant du bacon, le porc a été remplacé par de la dinde fumée.
Un accommodement aux us et coutumes de l’islam, notions nous alors qui prend une tournure franchement inquiétante et insupportable quand les exigences communautaires viennent frapper les plus pauvres.
En l’occurrence Les Restos du Cœur, si l’on en croit de nombreux témoignages qui nous ont été rapportés, où les produits à base de porc sont maintenant refusés de manière croissante.
Si beaucoup préfèrent courber l’échine devant les revendications communautaristes, d’autres encore n’ont pas besoin de se faire violence pour adhérer aux diktats du lobby immigrationniste, du métissage obligatoire et du politiquement correct.
Nous l’évoquions aussi sur notre blog le 28 janvier, afin d’illustrer un thème de campagne sur la «délinquance des mineurs», l’UMP avait publié sur son site une photo montrant notamment trois silhouettes de jeunes noirs déambulant dans les rues.
Le parti présidentiel avait paniqué devant les remontrances du centriste Patrick Lozès, président du Conseil représentatif ( ?) des associations noires (Cran), qui s’était dit « choqué par cet amalgame indigne », mais aussi du PS, des Verts et des habituelles officines dites « anti-racistes »
Xavier Bertrand, secrétaire général de l’UMP avait immédiatement demandé le retrait de la photo. Mardi le frère Bertrand, membre de la secte dite du Grand orient, qui œuvre activement en faveur de la poursuite de l’immigration de peuplement, a rencontré M Lozès.
Selon un communiqué du Cran, « l’UMP a reconnu le trouble suscité par cette association entre l’image et le titre de l’article et s’est engagée à être extrêmement vigilante à l’avenir sur le traitement de la diversité sur son site internet ».
Il est également demandé aux agences de presse et aux journaux d’être « extrêmement attentifs à ce type d’amalgames, et à ne pas utiliser ce type de photos pour illustrer leurs articles sur la délinquance, afin de ne pas banaliser le racisme ».
Petit conseil : le mieux serait encore d’interdire définitivement aux médias d’évoquer la délinquance et ses auteurs, la montée en puissance des revendications islamiques, et plus globalement tout ce qui a trait à l’immigration. Mais il est vrai que l’on s’achemine à grand pas vers ce cas de figure, par le biais de l’autocensure des faiseurs d’opinion, mais aussi à travers la novlangue utilisée par les journalistes et les politiciens.