Qu’il s’agisse des « affaires », de l’affaiblissement du gouvernement, de la crise économique, de l’insécurité persistante, de la situation internationale, le verbe présidentiel n’opère plus.
Si habile qu’il soit, il ne peut plus suffire à masquer l’échec de la politique menée ces dernières années.
La vérité, c’est qu’on racle les fonds de tiroir pour payer les échéances mensuelles. C’est aussi que la réforme des retraites, à supposer qu’elle aboutisse, sera à recommencer dans cinq ou six ans. C’est que l’influence française n’a cessé de régresser sur la scène internationale. C’est que les violences contre les personnes continuent de progresser, alors que tous les textes pour les réprimer existent déjà, y compris quant à la mise en cause des parents responsables.
Ce dont la France a besoin, ce n’est pas de lois nouvelles. C’est de la volonté politique de s’attaquer enfin aux réalités de la dénatalité, de l’immigration, du démantèlement de notre souveraineté, et de la désagrégation de notre industrie par le mondialisme