Par Jean-Romée Charbonneau, Secrétaire Départemental des Deux Sèvres, Secrétaire Régional du Poitou Charentes, Conseiller Régional pendant 18 ans, Membre du Comité Central, Flamme d’Honneur du FN
Bruno Gollnisch a toujours participé brillamment depuis 24 ans toutes les élections locales et s’est acquitté de toutes ses missions.
Dans tous les coups durs il a défendu politiquement, juridiquement, institutionnellement Jean Marie Le Pen, derrière lequel il a vécu dans l’ombre, sans jamais se poser la question de sa succession. Il a pourtant de l’antériorité dans l’ordre successoral puisqu’il a déjà été désigné par Jean-Marie Le Pen comme dauphin.
Son ambition n’a donc jamais eu besoin de démonstration, ni de basses manœuvres, mais a seulement pour intérêt de servir la France et le Mouvement National.
Ses qualités de leader, de fin politique, d’analyste brillant, de parlementaire aguerri, de professeur de faculté émérite, d’excellent leader local, font de lui, à coup sûr, un futur chef de parti.
En briguant une succession légitime, pour devenir le nouveau Président du FN, Bruno Gollnisch, incarne pour des millions de Français, une image souple, débonnaire mais aussi de chef ferme d’un grand Mouvement politique .
Il sera nécessaire qu’il définisse de nouvelles orientations plus collégiales, améliore la démocratie interne, révise les règles de représentation et de consultation, modernise un certain nombre de points fondamentaux de la doctrine, raffermisse d’autres points, pratique systématiquement l’union à droite dans la stratégie de Rassemblement National, toujours souhaitée par le FN.
Enfin, le succès de Bruno Gollnisch garantit sa volonté de vouloir rassembler l’ensemble des anciens amis dispersés, séparés, enfermés dans des querelles que le FN ne peut se permettre de tenir plus longtemps à distance.
Avec ces nouveautés, suscitons de nouveau l’espoir des militants de nos fédérations, de ceux qui ont tant donné, et sont retournés dans l’ombre, pour que des millions d’électeurs reviennent manifester leur envie de défendre la France et les Français d’abord, avec Gollnisch Président.