Bruno Gollnisch l’a constamment rappelé, il ne faut certainement pas attendre du système une dédiabolisation de notre Mouvement dont se chargent très bien les Français. Nos compatriotes se tournent et se tourneront demain encore plus nombreux vers un FN qui ne leur a jamais menti, qui a analysé lucidement les menaces mortelles qui obèrent l’avenir de notre pays et qui seul propose une politique alternative, crédible et cohérente à celle des partis de l‘Etablissement.
«Je suis le candidat anti-système et j’en suis fier» a répété Bruno Gollnisch a Annecy. C’est aussi pour cela qu’il est certainement le candidat le plus légitime pour succéder à Jean-Marie Le Pen car sans illusions sur la nature de nos adversaires et sans naïveté quant à la perception des procédés qui sont les leurs.
En effet, ne nous y trompons pas, tant que le FN gardera le bon cap, qu’il refusera d’embrasser la religion cosmopolite, c’est-à-dire qu’il restera le principal môle de résistance nationale à la politique de substitution de population programmée par les officines mondialistes, il n’y a guère de « chance » de voir les faiseurs d’opinion changer fondamentalement de regard sur l’opposition nationale.
Le vrai clivage reste bien entre d’un côté les défenseurs des peuples enracinés et des souverainetés nationales et de l’autre «le système à tuer les peuples ». Les adversaires des patriotes et nationaux n’ont pas changé, ce sont les sectateurs d’un monde babélisé, composé de simples consommateurs interchangeables, de « citoyens du monde » sans passé, peuples transformés en agrégats d’individus, en une masse grise et anonyme prêt à accepter la fameuse Gouvernance mondiale à laquelle nos « élites » et leurs propagandistes préparent les esprits.
Comme le note fort justement un internaute (« Cyber soldat »), « On ne peut pas se dédiaboliser soi-même. Seuls ceux qui diabolisent peuvent dédiaboliser. La stratégie de dédiabolisation conduit à parler et à agir en fonction de ce que nos adversaires acceptent de nous laisser dire ou faire !
Au cours de son histoire, le Front National n’a jamais eu besoin de se dédiaboliser pour contourner le blocus médiatique ou le cordon sanitaire républicain et faire entendre sa voix aux Français : son ascension électorale des années 80 et 90 le prouve. C’est par l’action de terrain de ses militants et par son discours de vérité (en adéquation avec les problèmes de la France) que le Front National a conquis sa place dans le paysage politique et les élections. »
Certes, cette polémique qui touche Marine ne saurait la desservir dans la campagne interne actuelle, mais cet internaute souligne que cette simple utilisation du mot occupation a ruiné « tous les efforts de dédiabolisation entrepris depuis plusieurs années (…) », efforts qui « peuvent être anéantis en quelques heures par le rouleau compresseur médiatique. »
Et de conclure qu’il est assez triste de voir que « si certains montent (légitimement) au créneau pour défendre Marine », « les mêmes n’ont pas eu un mot public de soutien quand Bruno Gollnisch a été traîné dans la boue sur France Inter il y a quelques jours » –voir notre article en date du 9 décembre.
Bref, plus que jamais « ce ne sont pas aux médias de dicter aux adhérents du Front National leur vote pour la succession de Jean-Marie Le Pen. Contre la dictature médiatique : Bruno Gollnisch président ! ».