Par Marie-Pierre Chérel-Subtil, ancienne assistante de Jean-Pierre Stirbois.
J’ai eu l’honneur et le privilège de travailler aux côtés de Jean- Pierre Stirbois et Jean-Marie Le Pen, lors de la campagne Présidentielle de 1988. J’étais, dans le délicat exercice de centralisation du recueil des signatures de maires, au contact de tous les cadres du FN de l’époque, dont Bruno Gollnisch. J’ai pu à cette occasion, et depuis, apprécier son indéfectible loyauté aux valeurs que portent le Front National et Jean-Marie Le Pen.
S’il était encore de ce monde, Jean-Pierre Stirbois aurait soutenu l’objectif que poursuit Bruno Gollnisch : rassembler toutes les sensibilités de notre mouvement, sur les valeurs de fond du FN, l’enraciner solidement et encore un peu plus dans le pays réel, pour ensuite conquérir le pouvoir et mettre en œuvre son programme.
Quant aux moyens pour y parvenir, Bruno dispose de la détermination, de la volonté, du courage, des valeurs humaines nécessaires, ainsi que d’une équipe dévouée, cultivée, compétente et militante, qui est d’abord là pour Servir.
De mon point de vue, cette définition de Sun Tzu lui convient tout à fait : Celui qui excelle à résoudre les difficultés les résout avant qu’elles ne surgissent. Celui qui excelle à vaincre ses ennemis triomphe avant que les menaces de ceux-ci ne se concrétisent.
Pour ces raisons, et bien d’autres encore, je soutiens la candidature de Bruno Gollnisch.