Le site lesnouvelles.news s’en est fait l’écho cette semaine, la Haute autorité de lutte contre des discriminations (HALDE) a estimé que « pour lutter contre les inégalités qui frappent les habitants des quartiers sensibles, le lieu de résidence doit être considéré par la loi comme un critère de discrimination. Dans l’accès à l’embauche, mais aussi dans l’accès aux biens et services publics ou privés (…). La Halde a constaté un réel consensus parmi les chercheurs, mais aussi les acteurs associatifs, les collectivités et institutions travaillant dans les quartiers sensibles (…) pour reconnaître l’existence de « stéréotypes et de préjugés sur les territoires en difficulté, « les inégalités présentes dans ces quartiers par rapport à d’autres territoires et des « différences de traitement à l’encontre des habitants de ces quartiers à raison du lieu de résidence ». L’adresse, dès lors, « apparaît comme un révélateur d’un cumul de discriminations ».
La Halde recommande « d’inscrire la discrimination liée à l’adresse dans le Code du Travail », « dans la loi relative à la lutte contre les discriminations ». Et ce, «afin de couvrir les situations de discriminations dans l’accès aux biens et services publics ou privés ».
Des situations dont la Haute autorité dresse la liste : « refus de paiement par chèque pour des personnes domiciliées dans des quartiers défavorisés, refus de livraison de colis par la poste, refus de visites à domicile de médecins, refus de prise en charge par les taxis, difficultés d’obtention d’un prêt… ».
« C’est le maire communiste de La Courneuve, Gilles Poux, qui avait le premier saisi la Halde, en mai 2009, sur les « discriminations territoriales » que subissent les habitants de sa ville de Seine-Saint-Denis. « Si le gouvernement suit la Halde, ça va être un point d’appui pour les populations des quartiers populaires, ça va leur faire reprendre confiance dans la société et ça va mettre une pression sur les employeurs », ajoute M. Poux
Pas une seule fois, il ne vient pas à l’idée de M. Poux et de la Halde de s’interroger sur les raisons objectives des réticences des employeurs et des causes des situations discriminantes énumérés par eux. En premier lieu elles découlent pourtant des violences et des systèmes mafieux mis en place par la racaille…et de la poursuite d’une immigration qui rend caduque toute assimilation et favorise le repli communautaire. Les premières victimes en sont non seulement les Français mais aussi les immigrés eux-mêmes qui souhaitent vivre normalement.
La Halde recommande implicitement la poursuite des flux migratoires en préconisant leur dispersion sur l’ensemble du territoire. C’est pourquoi « la Haute autorité se voit dès lors tenue de rappeler l’impératif de mixité sociale de l’habitat, qu’elle soulignait deux ans plus tôt : l’obligation de respecter l’objectif de 20% de logements sociaux pour les communes de plus de 3 500 habitants, et d’empêcher les discriminations liées à l’origine dans l’attribution de ces logements. C’est là, insiste-t-elle, « la condition d’une réelle égalité des chances pour l’accès à un logement social et pour la mobilité résidentielle. »
Bref, une nouvelle illustration du décalage existant entre les autorités morales et le peuple français qui attend au premier chef une vraie lutte contre la discrimination, celle qui consisterait à inverser le tsunami migratoire, à redonner aux Français la priorité chez eux, en matière de logement, d’accès à l’emploi et de défense de leur identité.