Propagande quand tu nous tiens : le dernier rapport de l’OCDE, relayé sans esprit critique par les « grands » médias, dresse des louanges de la politique familiale française puisqu’ « Avec 3,7 % de son produit intérieur brut consacré à la prise en charge des enfants, la France fait partie des pays les plus généreux envers les familles au sein de l’OCDE, où la moyenne est de 2,4 % du PIB (chiffres 2007) ». Parmi les effets bénéfiques de cette générosité gouvernementale , il est relevé « des conséquences positives aussi bien sur le taux de fécondité (2 enfants par femme, soit l’un des taux les plus élevés de l’Union européenne) que sur le taux d’activité des femmes (76,6 % des femmes de 25 à 54 ans occupent un emploi, et 80 % d’entre elles travaillent à temps plein) »
Sur le site du Salon beige, Michel Janva note « l’entourloupe » consistant à considérer comme politique familiale, le fait de fortement encourager la mère à laisser son enfant pour aller travailler :Pas moins de 42 % des enfants de moins de trois ans fréquentaient des services de garde en 2008, là où la moyenne des pays de l’OCDE est de 31 %. »
« Et l’OCDE regrette que la proportion d’enfants de deux ans scolarisés a décru au cours des années récentes». Ainsi, l’OCDE encourage la France à accentuer cette politique, qui vise à séparer la mère de son enfant, le plus tôt possible, en raccourcissant le congé parental de la mère (trois ans actuellement) pour éviter un arrêt d’activité trop long. Et si l’Etat s’occupait vraiment des familles en leur laissant la liberté de pouvoir garder leurs enfants ou d’aller travailler ? »
Une question essentielle en effet, prise en compte par le FN dans ses différents programmes de gouvernement, Bruno Gollnisch notamment ayant de longue date milité pour le salaire parental, permettant justement à l’un des deux parents qui le souhaite, de veiller à plein, temps à l’éducation et à la garde des enfants, plutôt que d’occuper par défaut, contraint et forcé, un emploi par nécessité financière.
Quant à cette fameuse vigoureuse « natalité française », un internaute a livré une preuve supplémentaire, mais en était il besoin ?, que celle-ci découle largement de l’immigration extra-européenne.
L’internaute en question interpelle la sagacité des lecteurs sur le fait suivant : « Si les statistiques ethniques sont interdites en France, les statistiques médicales se révèlent fort intéressantes pour révéler le pourcentage de la population française d’origine immigrée et surtout sur la population d’origine africaine ».
Ainsi, « La drépanocytose est une maladie génétique qui touche les gens de couleurs et d’Afrique du Nord.
Les recherches effectuées en France sur les nouveaux nés à risque montrent qu’en 2007, 28.45% des nouveaux-nés ont fait l’objet d’une recherche de drépanocytose (25,6 en 2005, soit 1% de plus par an). 55,5% des nouveaux-nés d’Ile de France ont fait l’objet d’une telle recherche ».
Statistiques qui recoupent d’ailleurs assez parfaitement, les projections des démographes sérieux sur le poids des immigrés non européens dans le renouvellement des générations dans notre pays.