Les zones de nos villes et banlieues très largement colonisées par l’immigration extra européenne sont elles soumises de fait à un régime d’exception ? Force peut elle encore rester à la loi ? Dans le quartier « pluriel » de Barbès (XVIIIe arrondissement de Paris), un policier de la Brigade des Réseaux Ferrés a été grièvement blessé dimanche par un « jeune » voleur, dans des circonstances hélas qui n’ont rien d’exceptionnelles.
Alors que cet agent avait réussi, en compagnie de la victime de ce vol à l’arraché, à rattraper ce délinquant, la situation a vite dégénéré. Stéphanie Weber-Boyer, déléguée syndicale du syndicat Alliance a expliqué que le voleur « a interpellé la foule et lui a demandé de se rebeller contre la police et contre la victime des faits. Ce que la foule a fait. Trois coups de couteau ont été portés à mon collègue, deux à l’abdomen et un à la fesse. Et tout le monde a pris la fuite ».
Ce « banal fait divers », qui aurait pu se solder par la mort de ce policier, illustre bien la difficulté croissante des forces de l’ordre à intervenir dans les zones babélisées où les réflexes de solidarités « tribales, » ethniques » religieuses ou tout simplement mafieuses l’emportent sur les lois de la République. L’aboutissement de décennies d’immigration « subie » et choisie »…