Explication de vote de Bruno Gollnisch sur la Modification du système Schengen (7 juillet 2011)
Schengen est un échec. On avait promis aux citoyens européens que le démantèlement des contrôles aux frontières intérieures de l’Union irait de pair avec un renforcement des contrôles aux frontières extérieures et le maintien d’un haut niveau de sécurité. La réalité ? L’Europe est une passoire. Les contrôles aux frontières extérieures insuffisants. Le laxisme politique généralisé quant à la gestion des flux migratoires en général et des prétendus demandeurs d’asile en particulier.
Ce laxisme est alimenté désormais par des lois européennes élaborées par Bruxelles, qui croit fermement que l’importation massive d’immigrés extra-européens résoudra nos problèmes économiques et sociaux, voire démographiques !
Tout Etat a le droit, et même le devoir de maîtriser ses frontières, de contrôler les marchandises et les hommes qui les franchissent. Ce qu’a montré la récente crise, toujours en cours, de Lampedusa, c’est que l’absence de contrôles aux frontières intérieures est un puissant incitatif pour les candidats à l’immigration illégale à se précipiter en n’importe quel point facilement accessible d’Europe. Ils savent qu’ensuite, il leur sera facile de jouer de nos lois et de cette absence de contrôle pour aller où bon leur semble.
Ce n’est pas la réforme de la clause de sauvegarde de l’accord de Schengen qu’il faut engager. C’est l’abolition de cet accord !
Jean dit
Cher M. Gollnisch,
Vous le savez, ce n’est qu’une question de temps. L’Italie est la prochaine sur la liste à faire faillite semble t il. Ce sont les peuples eux-mêmes qui vont à terme se révolter d’une manière ou d’une autre contre cet afflue massif d’immigrés.
drubigny dit
Bonjour Jean.
Oui vous avez raison,c’est ce que je pense également. Mais en ce qui concerne la France, une émeute populaire devrait être en toute logique être réprimée par d’abord les forces de l’ordre (crs gendarmes), puis dans un cas plus grave par l’armée…Chose que même De gaulle avait refusé de faire en son temps, au moment de la guerre d’Algérie…Quoi qu’il en soit, je pense que la situation actuelle est d’une telle gravité, que l’on se dirige de plus en plus vers une guerre hélas civile… D’où la question : dans cettte hypothèse extrême et douleureuse, que feraient les forces de l’ordre et l’armée ??? A méditer.