SOS racisme a publié hier un communiqué dans lequel ce pseudopode du PS fait part de son vœu que le changement de majorité au Sénat accélère l’adoption du droit de vote des immigrés en France. Au-delà de cette déclaration d’intention très conjoncturelle, la réunion du Bureau de l’officine antinationale, qui se déroule aujourd’hui à son siège parisien, s’attachera certainement à régler le sort de son actuel président, Dominique Sopo, aujourd’hui sur la sellette. L‘élection du nouveau président de l’association est prévue statutairement en octobre, M. Sopo ne devrait pas briguer un nouveau mandat…
Une présidence qui a accéléré la crise financière de SOS racisme, malgré son financement à haut débit, principalement avec l’argent de mécénes socialistes et …de nos impôts. L’hebdomadaire Minute le rappelait fin août, « en 2009, selon les comptes publiés au Journal Officiel, SOS racisme a touché 904 596 euros de dons et subventions pour des dépenses de plus d’un million d’euros et un déficit de… 305 701 euros ! »
Le dernier grand raout antiraciste du 14 juillet sur le Champ-de-Mars que nous évoquions sur ce blog, a accéléré la déliquescence de cette coquille vide, dont la capacité de nuisance et le poids médiatique sont inversement proportionnels à son audience réelle. Le coût de cette dernière manifestation s’est élevé à 1.177.000 euros, entraînant un déficit net de 800 000 euros, les subventions accordées aux « potes » n’ayant pas dépassé les 444 000 euros. A croire que même les parrains de SOS commencent à fatiguer…
Dans une lettre adressée à différents ministères –voir notre article en date du 22 août, Dominique Sopo, a tenté de nouveau de soutirer de l’argent, mettant en avant la défaillance de certains partenaires », arguant que « l’ opération » de propagande du Champ-de-Mars «nous met dans une situation financière des plus délicates.» Sortez vos mouchoirs et vos portefeuilles…
Certains avancent que la décision d’organiser ce concert aurait été prise par Dominique Sopo et un membre influent du Bureau national de l’association, Benjamin Abtan, ex conseiller de Bernard Kouchner et ex président de l’Union des Etudiants Juifs de France (UEJF) , sans concertation avec les comités SOS Racisme.
Rappelons que Julien Dray, fondateur de SOS Racisme et député PS de l’Essonne, s’était félicité du succès de ce raout, qu’il mettait au crédit de son ami M Sopo. Que M. Dray, expert en finances publiques lors de ces années chez les « potes », ait donné son imprimatur à cet évèvement, aurait pu nous mettre la puce à l’oreille…
En cette période de crise aiguë , le FN et Bruno Gollnisch veilleront tout particulièrement à ce que les frasques financières de SOS racisme ne retombent pas de nouveau sur les épaules de nos compatriotes…comme cela est systématiquement le cas depuis des décennies et avec l’arrivée du sarkozysme au pouvoir.
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