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Affaire DSK-PS : « à la confluence des réseaux francs-maçons, libertins et politiques »

DSKLe FN a  toujours été violemment  combattu par  les grands  sectateurs de  la pensée anti-nationale véhiculée par  des figures aussi différentes qu’influentes que  sont par exemple dans le microcosme un Alain Minc, un Jacques Attali, un Bernard-Henry Lévy ou un Dominique Strauss-Kahn. Ce dernier résume  à lui seul tous les reniements d’un PS qui affirme toujours être  l’héritier de Jean Jaurès :  la trahison du noble idéal de justice sociale au profit du CAC 40, celle de la solidarité nationale sacrifiée sur l’autel du cosmopolitisme, le refus de doter notre pays des mesures de protections sociales, économiques, identitaires…  Mais ce ne sont pas ses  turpitudes intellectuelles là qui font les délices de la presse ces dernières semaines, mais ce qu’il est convenu d’appeler une affaire Strauss-Khan-PS bis.  Elle  permet de mesurer toute l’hypocrisie malsaine du Parti socialiste et plus largement d’un Nicolas Sarkozy  qui connaissait   parfaitement la nature des pulsions, à l’évidence  irrépressibles, de l’érotomane  DSK,  mais qui  n’en a pas moins jugé utile de peser de tout son poids  en faveur de  sa candidature à la tête du FMI. 

 Le site de L’Express l’évoquait longuement   le 15 novembre, dans un article où les détails scabreux sur les goûts de l’économiste mondialiste ne nous sont pas épargnés,   « l’affaire du Carlton de Lille a basculé dans une autre dimension (….).  Les témoignages et les écoutes auxquels L’Express a eu accès révèlent en tout cas l’incroyable agenda 2009-2011 de l’ex-patron du FMI. Où se mêlent, entre ses obligations publiques, des rendez-vous privés avec ses amis lillois et leur escorte de filles tarifées (…) Même les frasques de certains élus de la IVe République paraissent fades en comparaison du système d’approvisionnement en call-girls mis en place pour satisfaire Dominique Strauss-Kahn. » 

 Et le magazine de pointer que « les investigations de trois juges, épaulés par la police judiciaire »,  « parties d’une sombre histoire de prostitution mêlant notables lillois et filles de joie », «  révèlent un scandale inédit en France, à la confluence des réseaux francs-maçons, libertins et politiques, selon les termes des magistrats dans une ordonnance. » Scandale dans lequel apparait les noms du  chef d’entreprise et    militant socialiste du Pas-de-Calais, Fabrice Paszkowski,   de David Roquet, patron d’une société spécialisée dans la pose de revêtements routiers (Enrobés du Nord) , ou encore  du commissaire divisionnaire, chef de la sûreté départementale à Lille, Jean-Christophe Lagarde

 On se souviendra de la ligne de défense des apparatchiks du PS  au lendemain de l’affaire du Sofitel de New York  : cela « ne ressemble pas au Dominique que l’on connait », « un séducteur » affirmait son ami Pierre Moscovici avec un sens certain de la litote…. Dirigeants socialistes, de François Hollande à la lilloise Martine Aubry, de Laurent Fabius à Manuel Valls qui ignoraient donc tout des frasques et penchants  de leur candidat chouchou ?  Et ce sont à ces irresponsables et menteurs là  auxquels les Français confieraient en 2012 les clés du pouvoir ?

 Après l’abandon des charges pesant contre lui dans l’affaire Nafissatou Diallo, alors même que la justice n’avait  pas conclu formellement  à l’absence de viol, le triomphalisme des socialistes  avait beaucoup choqué.  Lors de son indécente  opération de  blanchiment sur le plateau du JT de TF1 en septembre dernier,  interrogé plus que complaisamment par une amie  d’Anne SinclairClaire Chazal,  l’ex  patron du FMI avait tiré une exégèse particulièrement maligne du rapport du procureur de New York Cyrus Vance rendu le 23 août. Pourtant, celui-ci  n’écartait pas explicitement d’éventuelles violences à l’encontre de Mme Diallo.

Bruno Gollnisch avait fortement, réagi à cette affaire, dénonçant « l’hypocrisie socialiste » «  le concert de louanges autour de l’érotomane  Dominique Strauss-Kahn, alors que les faits établis dans cette affaire révèlent un comportement parfaitement indécent. »

Désormais les médias, et   notamment cet article de L’Express indique les lieux à Paris, du club  L’Aventure à quelques encablures de l’Etoile à l’Hôtel Murano, situé près de la place de la République, dont DSK a fait «  l’épicentre de ses plaisirs parisiens. Ils sont parfois une douzaine à se presser dans ces transports en commun » est-il précisé. « D’ores et déjà, les magistrats s’attaquent au volet financier de l’affaire. Ils ont établi que trois sociétés réglaient les bons plaisirs de DSK » notamment celles  de Fabrice Paszkowski et de à David Roquet ». Et l’auteur de l’article  de s’interroger pertinemment : « Les amis libertins de DSK ont-ils agi par simple amitié ou dans l’espoir d’un retour sur investissement? En cas de victoire en 2012, la sex machine DSK aurait pu se transformer, pour certains, en cash machine »

 Si le silence des  dirigeants du PS  qui savaient, comme de très nombreux militants,   en dit long  – la plupart des socialistes affectent de condamner la prostitution– nous rappelions aussi dernièrement, dans un domaine encore plus grave,  la  loi du silence, les complicités dont bénéficient   les pratiques des monstres pédophiles « chassant  en réseaux »,  comme ce  fut le  cas avec l’affaire dite du Corral, centre d’accueil de jeune autistes et handicapés violés et torturés  par des notables. Coïncidence, le comité de soutien de Roman Polanski comprenait  plusieurs personnalités mises en cause dans celle-ci

 Nous évoquions pareillement le document glaçant réalisé il y a quelques années par Karl Zéro sur la protection réelle ou supposée, accordée par des sphères d’influence, des officines, des coteries (politiques, maçonniques,  médiatiques, judicaires…) en France et en Belgique, à des auteurs de monstruosités pédophiles sur des bébés et de très jeunes enfants (>http://www.dailymotion.com/video/xdr02r_le-fichier-de-la-honte-1-5_news).

Il est vraiment temps de changer d’air (ère)…

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