Que serait la France des terroirs et des clochers à laquelle le Front National est si attaché, sans celles et ceux qui la font vivre au quotidien par leur travail et leur talent ? Il était dans l’ordre des choses que Bruno Gollnisch soit présent les 14 et 15 mai aux côtés des gens du métier horticole, producteurs, acheteurs et employés du marché. Une occasion d’entendre leurs besoins et de confronter avec eux ses solutions pour assurer la sauvegarde de l’horticulture française.
Une activité traditionnelle très importante sur le bassin hyérois où se trouvent 400 producteurs, puisque plus de 85% de la production vendue sur le marché vient de cultures situées à moins de 25km de la SICA, laquelle génère environ 35 millions de chiffre d’affaires.
Un secteur aujourd’hui lui aussi en grande difficulté, menacé par des décennies d’une politique laissant notre pays, sous la férule bruxelloise, désarmé et ouvert à tous les vents mauvais de la mondialisation sans frein.
La crise est en effet profonde: concurrence européenne mais aussi mondiale faussée, réglementations kafkaïennes, fiscalisme confiscatoire, régimes spéciaux…les maux qui frappent les acteurs de l’horticulture sont connus de longue date par le candidat national dans cette troisième circonscription du Var.
Lundi 14 mai au soir, accompagné par Joseph Brunetto, un producteur bien connu du secteur, Bruno Gollnisch a rencontré les producteurs laissant leur récolte pour la vente du lendemain. Le candidat à la députation a réaffirmé sa volonté de ne pas laisser les technocrates de Bruxelles nous dicter leurs lois, sans assurer pour autant l’harmonisation des réglementations. C’est notamment le cas pour les produits phytosanitaires qui ne sont pas soumis aux mêmes règles au sein de l’Union européenne… au détriment bien sûr des Français !
Ses interlocuteurs ont été nombreux à approuver son souhait de mettre urgemment en place les règles d’un protectionnisme raisonné (et raisonnable!) ; ils ont été également sensibles à sa volonté de défendre à l’Assemblée la lutte contre le bétonnage et la spéculation immobilière anarchique qui sévit sur la région.
Accueilli avec une parfaite courtoisie par la direction, la visite de Bruno dans cet espace plein de couleurs et de senteurs s’est poursuivie le lendemain matin pour la vente au cadran. Là aussi, grossistes et revendeurs exprimèrent leurs inquiétudes, mais dans un climat agréable car le candidat frontiste a été reçu par tous avec chaleur et bonne humeur.
Une visite qui l’a renforcé, s’il en était besoin, dans sa détermination à se battre pour ses hommes et ses femmes, ses Français de la terre qui ne ménagent pas leurs efforts et qui demandent juste le droit de vivre décemment du fruit de leur labeur.
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