Trois rendez-vous ce jeudi pour Bruno Gollnisch à Carqueiranne: une visite du marché, un apéritif débat au Bar populaire, puis en fin d’après-midi une rencontre au Cul de Boeuf, une institution culinaire du centre-ville!
Trois rendez-vous ce jeudi pour Bruno Gollnisch à Carqueiranne: une visite du marché, un apéritif débat au Bar populaire, puis en fin d’après-midi une rencontre au Cul de Boeuf, une institution culinaire du centre-ville!
Ludovic Lefebvre dit
J’ai eu la chance, moi nordiste, de vivre à Carqueiranne, j’allais souvent faire le marché et manger au Cul De Boeuf’. Mais aussi prendre un thé le soir devant cet océan propice à la méditation, si beau.
Vous me rappelez par ce billet, monsieur Gollnish, qu’il y a ces jolis petits coins de France où il fait encore bon vivre.
J’habite à Passy, ce n’est pas l’endroit de Paris le plus désagréable, et nous avons fait une bonne campagne aux municipales et surtout aux européennes malgré la nullité politique notoire de nos concitoyens parisiens. Mais, nous voyons et vivons réellement quelque chose de cassé par le multiculturalisme, une ville sans âme français devenue et même sans âme.
Il est intéressant de voir le lien intrinsèque entre le ressenti et la pensée. J’en arrive à me dire que l’émotion est une analyse bien plus juste et rapide que notre pensée aussi vive et étayée puisse t-elle être.
Bien à vous, monsieur. .