Bruno Gollnisch a été alerté par de nombreux Hyérois sur la présence d‘un bidonville installé sur un site exceptionnel, aux portes de la cité des Palmiers, dans le quartier du Plan du Pont.
Un transport de son équipe de campagne en ce lieu naguère bucolique, a permis d’y constater la présence de plus d’une cinquantaine de caravanes, et d’une population hétéroclite mêlant quelques retraités en grande difficulté sociale, des gens du voyage, et d’autres personnes d’origines diverses.
Il s’avère que depuis quelques années, le maître des lieux encaisse des loyers auprès des propriétaires de caravanes toujours plus nombreux, et c’est une centaine de personnes qui y « séjourneraient ».
Les lieux sont dans un état épouvantable, cimetière de voitures et engins divers, sacs d’ordures ménagères jetés au sol et éventrés, détritus de tout ordre, tas de câbles électriques en attente d’être brulés pour récupérer le cuivre.
Les conditions d’hygiène sont déplorables et inadmissibles, le Gapeau faisant les frais de cette incurie sanitaire.
Les riverains de ce secteur se plaignent de la dégradation du site, mais également des mauvaises relations qui se sont instaurées avec certains habitants de ce bidonville.
Outre l’important problème environnemental, outre les nuisances dénoncées par les résidents de ce secteur, outre le côté inhumain soulevé par cette installation de personnes en difficulté, il faut mentionner la gravité de cette situation qui peut à tout moment générer un drame, car ces caravanes sont dans une zone rouge inscrite au P.P.R. (Plan de Prévention des Risques naturels), et le débordement soudain du Gapeau pourrait entraîner des pertes humaines.
Présents le jour de la visite, Bruno GOLLNISCH, candidat à la Mairie de Hyères, et Gérard COMPARETTI, ancien commandant de Police en retraite et candidat à la fonction d’adjoint à la sécurité, ont pris l’engagement formel de faire cesser cette situation en utilisant les pouvoirs de police administrative et judiciaire dont disposent les Mairie pour faire respecter l’ordre et la salubrité publique dans leur commune : retour à des conditions d’hygiène normales, interdiction des locations illégales et des trafics, respect de l’environnement, relogement décent des cas de réelle détresse sociale.
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