Bruno Gollnisch était l’invité de l’émission « Les grandes questions » animée par Franz-Olivier Giesbert, diffusée samedi, en compagnie de l’essayiste, historien et enseignant Alexandre Adler et d’un assez obsessionnel adversaire de l’opposition natiionale Marc Knobel, membre de l’équipe dirigeante du Crif. Construit autour du théme du complot, ce débat fut également ponctué par les interventions des agrégées de philo Sophie Nordmann, Elisabeth Abecassis et Mazarine Pingeot ; cette dernière, fille d’un décoré de la francisque ami de René Bousquet, ne fut pas la moins virulente comme cela était à prévoir… Au final, une émission au sujet plutôt sensible et piégeux dans laquelle, seul contre tous, Bruno a pu globalement s’exprimer et faire entendre une musique différente… Cette émission est consultable ci-dessous dans son intégralité :
Commentaires
Rétroliens
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[…] Mazarine Pingeot a semblé très agressive samedi dans l’émission « Les Grandes Questions » sur France 5 où vous étiez parmi les invités pour parler des théories du complot… (revoir l’émission) […]
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[…] de lecture qui correspond peu ou prou à celle que Bruno Gollnisch s’était évertué à exposer, dans l’hostilité générale il y a quatre ans maintenant, invité d’une émission du service public alors animée par […]
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[…] lecture qui correspond peu ou prou à celle que Bruno Gollnisch s’était évertué à exposer, dans l’hostilité générale il y a quatre ans maintenant, invité d’une émission du service public alors animée […]
Tartempion dit
Pour moi, … les complots ne sont pas une théorie, … mais une pratique, … que j’ai découvert, non par éducation, mais par expérience, … tant les complots sont aujourd’hui … visibles par tout le monde …
C’est bien pour cela … que les complototeurs’attachent depuis peu … à essayer de détourner les gens … de l’idée même des complots, … car le SECRET leur est absolument nécessaire …. pour maintenir les gens sous leur domination, … en essayant de les empêcher de relier les évènements, … et en présentant l’actualité et l’Histoire … sous formes de séquences atomisées … qui apparaitraient toutes par la vertu du seul hasard …
L’idée des complots remonte à loin
Elle était connue de Molière … Monsieur Jourdain, bourgeois rêvant de passer pour gentilhomme … accepta par exemple de se faire introniser Mamamouchi … par son propre valet déguisé en vénérable, Covielle, … lequel l’intronisa par la formule consécratoire : … « Dignus, dignus est intrare … in nostro corpore … »
Je m’arrête là, … sinon on pourrait écrire des livres …
Bonne-maman dit
Mais ma parole, ils étaient tous venus là (sauf A. Adler) pour faire le procès de Bruno Gollnich …
et du FN !…
Ce n’est pas un complot, ça ? !
ARBONA dit
Participants à cette émission : Giesbert, Knobel, Adler, Nordmann, Abecassis
Complotisme, bien sur…
PA
mordret dit
Bonjour Monsieur Gollnisch,
Quel art du combat face à tant d’adversaires (mot faible). Bravo Monsieur!
C’est un sujet passionnant.
Dont nombre de portes mènent toujours aux mêmes protagonistes, c’est à dire toujours aux mêmes tabous, aux mêmes interdits avec verrous et gardiens permanents.
Je suis fasciné par le déni de ce sujet.
Les principaux moyens d’induction de la destruction de nos pays d’Europe, résident dans la falsification et l’inversion de valeur des mots, et dans la mise au même niveau d’idées de nature, et de valeurs totalement différentes.
Il existe une définition du mot complot dans l’encyclopédie Larousse en ligne (gratuit et directe d’accès) :
Atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation.
Par extension, projet plus ou moins répréhensible d’une action menée en commun et secrètement.
Il est évident que l’extension au moins s’applique. Le peuple Français est maintenu dans l’ignorance de son Grand Remplacement, et ne comprend pas ce qu’il lui arrive sur divers plans.
C’est bien une action menée, et non subie mais consentie, secrètement et contre les intérêts d’un peuple, et sans le lui dire. Cela méritera des enquêtes, des jugements, et peut être des cours martiales.
Merci Monsieur de nous représenter avec une infaillible fidélité.
Jean Louis B.