Communiqué de presse de Bruno Gollnisch, député européen, membre du bureau politique du Front National
Sur la foi d’une information erronée, France 2 a annoncé à 8 heures qu’il m’était réclamé par l’administration du Parlement Européen la somme de 380.000€ correspondant aux salaires et charges sociales d’assistance parlementaire depuis de nombreuses années.
J’oppose un démenti formel à cette information. J’ai fourni des preuves surabondantes et irréfutables du travail effectif de mon assistant parlementaire, et je n’ai fait à ce jour l’objet d’aucun ordre de reversement de quelque somme que ce soit.
Le fait que des sources proches des dirigeants administratifs du Parlement, tenues au secret professionnel, diffusent apparemment à la presse des « informations » dont je n’ai même pas connaissance démontre, s’il en était besoin, le caractère politique, partisan et arbitraire de l’ensemble de ces procédures.
Bistouille Poirot dit
Il faut dire qu’en s’interdisant de commenter la disparition de Marie Rose Morel, les Médias français n’oublient pas d’occuper le terrain de la désinformation en publiant quelques mensonges dans le droit fil d’une actualité déjà ancienne et relative à un événement qui se voulait accablant, en accusant l’assistance parlementaire Européenne du Front du détournement de sa mission au profit d’activités extra européennes. Il est nécessaire de redresser à chaque occasion ce genre d’erreurs volontaires, hélas avec des moyens qui ne sont pas ceux qu’utilisent nos médias.
J’en veux pour preuve la façon dont les français restent encore abusés sur le sacrilège commis par l’organisation de messe noires dans le cimetière juif de Carpentras. Cette exaction avait été volontairement mise sur le dos du Front National avec une puissance médiatique inimaginable pour finalement trouver son épilogue dans un entrefilet déboutant les détracteurs de ce parti.
Il existe encore aujourd’hui quelques adhérents du FN qui ignorent les suites qui ont été données à cette affaire, ce qui explique la vénalité et la mauvaise foi de nos médias entretenus par nos impôts.