Explication de vote de Bruno Gollnisch sur le Rapport Sakorafa (A8-0112/2017) traitant de la Participation de l’Union au partenariat en matière de recherche et d’innovation dans la zone méditerranée (PRIMA) – 13 juin 2017
La logique de PRIMA est de favoriser un partenariat public-public de recherche de part et d’autre de la Méditerranée, recherche dans les domaines de l’approvisionnement et la gestion de l’eau, ainsi que des systèmes agro-alimentaires.
Ce partenariat existe déjà et implique plusieurs Etats membres de l’UE, dont la France. Il s’agit ici d’y faire participer l’Union européenne en tant que telle, via l’actuel programme cadre de recherche, et de permettre un financement européen à hauteur de 200 millions d’euros.
Je ne suis d’habitude pas favorable à associer l’UE à des projets inter-gouvernementaux qui fonctionnent bien.
Deux arguments m’ont cependant décidé à voter en faveur.
D’abord le succès global des programmes de recherche au niveau européen.
Ensuite et surtout, les deux domaines concernés sont fondamentaux : ils peuvent avoir un impact non négligeable sur le maintien sur place des populations, et même la stabilité économique et sociale de certains pays.
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