À l’occasion d’un débat au Parlement européen sur « La révolution totalitaire bolchévique de 1917 », Bruno Gollnisch reparle de quelques faits historiques et du populisme.
À l’occasion d’un débat au Parlement européen sur « La révolution totalitaire bolchévique de 1917 », Bruno Gollnisch reparle de quelques faits historiques et du populisme.
lansquenet dit
Il faut chevaucher Le Tigre, et quand son appétit s’épuise à baffrer les conneries de l’auge consumériste qui, en plus, ne tient plus ses promesses, c’est là qu’il faut retremper le bobo féminisé, narcissique à vomir, dans sa propre hubris pour un avenir plus grandiose, un inquiétisme héroïque. Replanter la flèche de l’Histoire dans le gogochon libidineux.
Et non rêver à une quelconque restauration archaïque où tempérance chrétienne. On ne ramène pas les grecs ni les amish.
Ce n’est pas la mémoire du Passé, mais celle de l’Avenir, qui renverse en elles mêmes les idéologies.
« Cette émergence des besoins, fut elle formelle et asservie , n’est jamais sans danger pour l’ordre social — comme l’est la libération de n’importe quelle force productive […]
Qui peut dire quelles contradictions historiques nous réserve l’émergence et l’exploitation de cette nouvelle force productive que sont les besoins [illimités par la science, dans une désublimation narcissique dirigée par le Capital, qui détruit la tempérance traditionnelle]. » Baudrillard,