Explication de vote de Bruno Gollnisch sur le rapport Wilkström (A8-0345/2017) portant sur la décision d’engager des négociations interinstitutionnelles – refonte du règlement « Dublin » sur les demandeurs d’asile (16/11/2017)
J’ai voté contre ce mandat de négociation. Il est parfaitement inacceptable que la révision des règles permettant de définir l’Etat responsable d’une demande d’asile ou de protection internationale se fasse dans le huis clos des petites transactions interinstitutionnelles menées par une poignée de fonctionnaires et de députés.
Si ce mandat est accepté, la plénière de ce Parlement ne sera consultée que sur le compromis final, sans possibilité d’amendement. Or, il s’agit d’imposer à tous les Etats des relocalisations de prétendus demandeurs d’asile, y compris contre leur volonté et sous menace de sanctions.
Si le règlement de Dublin ne fonctionne pas, c’est parce qu’il repose sur de mauvais bases : la dépossession des Etats de la maîtrise de leur frontière au nom d’une circulation sans aucun contrôle de tout et de tous sur le territoire de l’Union. Ce ne sont pas les effets qu’il faut traiter, ce sont les causes.
EDMOND dit
Encore une forfaiture en préparation,les causes sont connues,arrêtons de financer les nababs au pouvoir dans les pays d’Afrique et organisons ,sur place la venue de démocraties, si chères à tous les staliniens de la pensée unique. Quant à garder des individus résidant sur notre sol depuis plus de dix ans sans justifiés de ressources, issues du travail ,ou de financer des retraites à des magrébins plus que centenaires,à ce propos la statistique démontrant pléthore de centenaires en Algérie m’as procuré un véritable fou rire ,c’est renoncé à notre modèle social. Pour que nos politiques prennent la mesure des méfaits de l’émigration sauvage, ils devraient résider ,quelques temps ,dans des quartiers sensibles.
Muller dit
Nous avons été virés de l’Afrique avec la complicité des socialistes et maintenant ils veulent le retour dans le pays de ceux qu’ils ont chassé !!!!toujours avec l’aide des socialistes et de l’extrême gauche, ceux qui sont accrochés au revenus de l’Etat et qui ne travaillent pas