Bruno Gollnisch était hier soir l’invité de LCP pour évoquer la réélection triomphale de Vladimir Poutine, l’audience retrouvée sur la scène internationale de la Russie, les tensions générées par cette montée en puissance de Moscou, notamment au Levant. Pour en parler, l’élu frontiste était confronté au député français MoDem des Hauts-de-Seine ( et ancien député européen) Jean-Louis Bourlanges, à l’essayiste spécialiste des pays de l’Est Roumiana Ougartchinska et à la politologue spécialiste de la Russie Hélène Blanc. Un débat de qualité.
voltarousse dit
Trêve de bavardages:..le résultat montre que Poutine a été bien mieux élu que Macron , c’est surtout ça que l’on devrait retenir !
lansquenet dit
Jamais un un cacique du FN n’ose dire qqchse de décisif. Du bavardage convenu.
Sur la baisse de natalité, pas un chiffre, pas un mot sur la drépanocytose.
Sur l’UE, pas un mot sur le plan Coudenhove-Kalergi.
Plein de gens ne connaissent pas cette réalité, ne s’intéresse pas à la politique. Zemmour, fdesouche, BVoltaire, etc. osent eux… Je trouve ça lamentable, du gâchis de temps de parole.
GRIFFIN AU PARLEMENT DE LA COLONIE DES GOCHOS-LE-COLLABO : ÇA DÉPOTTE !
https://www.youtube.com/watch?v=Rf3bymzCnnE
Florent dit
Oui, un débat intéressant et courtois grâce à la qualité des invités. Juste un mot d’analyse sur le phénomène Poutine : en mai-juin 2012, la regrétée Nouvelle Revue d’Histoire pour son 60e numéro dressait un parallèle historique assez juste entre Napoléon, Hitler et Poutine. On peut en effet concevoir Poutine comme une étape d’un cycle historique qui se répète avec un certain décalage temporel pour la Russie. Ainsi la France a connu à la fin du XVIIIe siècle la séquence : Monarchie absolue, puis constitutionnelle, République, Terreur et finalement Bonapartisme, de même l’Allemagne a connu la séquence IIe Reich, république de Weimar, terreur rouge (à Berlin et à Munich) puis l’Hitlerisme. La Russie, après la chute des Tsars, la terreur du stalinisme et la chute du communisme connait désormais une phase brillante avec un chef militaire, judoka (donc en principe astreint à un certain code moral) et charismatique élu démocratiquement pour la diriger. On est en droit de souhaiter pour le bonheur du peuple russe que cette phase soit la plus longue possible, sans non plus verser dans l’admiration béate et pusillanime.
mujerqueseama dit
There you have it: pro-censorship, moral righteous, intolerant of diversity. Full flip over to today and all the roles are reversed … Before the ‘60s voting habits were largely determined by social class, religious denomination, occupation, rural or city; my parents (born 1912, 1915) didn’t know what left-wing right-wing meant. I’d guess that most medium to high level public servants would have been LCP voters in the ’50’s. As for economic freedom the Menzies Government was hardly a shining example .