Communiqué de presse de Bruno Gollnisch
Bruno Gollnisch se félicite de l’arrêt rendu le 11 octobre par la Chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Chambéry décidant de placer l’agresseur de Jean-Paul Frison-Roche en détention préventive.
Jean Paul Frison-Roche, conseiller municipal Front National de Scionzier en Haute-Savoie, avait été sauvagement attaqué début août et poignardé trois fois dans le dos pour la seule raison de sa qualité d’élu Front National. Son agresseur présumé, Abdamid Bey, avait été appréhendé dans un département du sud de la France grâce à l’efficacité de l’enquête menée par la gendarmerie.
Présenté il y a quelques jours au juge d’instruction du Tribunal de Bonneville, Abdamid Bey, bien connu des services de police, n’avait pas été mis en détention préventive par le juge des libertés de ce tribunal, contre l’avis du magistrat instructeur et du Procureur de la République.
Il faut se féliciter de ce que le Procureur de la République ait interjeté appel de cette décision négative et que la Chambre de l’instruction, après avoir notamment entendu la victime et son avocat Maître Wallerand de Saint-Just, ait pris enfin la mesure de la gravité de cette tentative d’assassinat, du trouble causé à l’ordre public et du danger permanent que représente l’agresseur.
Jean-Paul Frison-Roche, heureusement remis de ses blessures, n’est cependant pas encore à l’abri : il a été menacé à la sortie de son domicile fin août, au cri de « on va te planter facho ».
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